Dans l'équipe 1 sont attendus: Caesar ( virtuellement dans le rp), Roman, Anaïs, Alexis, Sasha (TC Marah), Hunter ( Dc tyler)
Mission : Votre mission sera d'entrée et de sauver les mutants prisonniers, leurs enlever l'implant immédiatement en faisant une incision derrière la nuque et d'évacuer le plus rapidement possible les prisonniers. COURAGE ET BONNE CHANCE ! Je vous laisse vous organiser dans la section Roleplay, vous pouvez ouvrir un sujet et discuter rapidement de la stratégie à adopter.
Vous pouvez également ( si vous le souhaitez, ouvrir un sujet "extérieur" à celui du sujet commun pour plus de facilité)
Les prisonniers : Anthelme, Marah, Tyler, Charlie Précision : L'attaque ce fait le matin
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Dans l'équipe 2 sont attendus: Norah (+ les autres membres de l'équipe Caesar + Cami merci de le faire dans vos rp si vous avez besoin d'explication envoyer un MP à Marah c'est son ex chéri :p), Matt, River (éventuellement: Hunter et Alexis), Edwin.
Mission : Votre mission sera de faire diversion auprès des deux agents de l'ASG et ainsi laisser la voix libre à l'équipe 1 de sauvetage. COURAGE ! Je vous laisse vous organiser dans la section Roleplay, vous pouvez ouvrir un sujet et discuter rapidement de la stratégie à adopter.
Ennemis : Narcisse M. Maide et Néron Erisson Dénouement : Néron Erisson - ASG prit en otage ON va le faire souffrir
- Essayer de privilégier les Rp entre 500 à 700 mots, mais débrouillez-vous pour qu'il y est de la matière à répondre.
Le camion ralenti doucement, jusqu’à s’arrêter complètement, vous vous êtes garé à l’arrière, à quelques mètres seulement de l’entrée du personnel de l’ASG afin de ne pas éveiller les soupçons. Le garde de l’entrée surveille les alentours, heureusement vous êtes hors de sa porter. Tout le monde se lève. Caesar ouvre la porte. Vous glissez à l’extérieur. Cami et Mike resteront à l’écart près du véhicule en renfort. Caesar se met à parler une dernière fois, tu l’écoutes et au fur et à mesure qu’il parle tu acquiesces suivi des autres. Entre-temps, tu ajustes ton matériel, vérifie que tes chargeurs sont bel et bien en place.
CAESAR - « Très bien, rappelez-vous, on doit être rapide et efficace. Edwin nous attend il a envoyé la majorité des agents sur le terrain. On n'a que très peu de temps pour faire sortir tout le monde. Sasha, dès que vous êtes passé la première porte, les caméras seront éteintes. Mike tu t’en occupes. ?
MIKE - Pas de souci, en trente secondes se sera fait.
CAESAR - écouter Edwin vous ouvrira la deuxième porte discrètement, il a trafiqué le boîtier. Ce sera à ton tour Roman de neutraliser le reste des agents dans la salle de sécurité avec ton pouvoir. Alexis, notre taupe nous a dit qu’il y en avait seulement que six aujourd’hui, se sera donc jouable pour toi. Une fois neutralisé, on se sépare par groupes l’équipe 1 et l’équipe 2. L’Équipe 2 vous faites diversion et nous l’équipe 1 on fonce directement vers les cellules et éventuellement vers le labo d’Allen. Il faut faire attention, les couloirs sont de vrais labyrinthes, vous avez tous le plan en tête. Il faut qu’on agisse rapidement. Charlie, tu commences à poser les bombes, Norah tu fais le ménage et neutralises le plus d'agent trainant dans les couloirs pour nous laisser le champ libre. Sasha, tu restes dans la salle des opérations pour nous guider et tu te tiens prête en renfort. Roman, Alexis - qui nous rejoindra- Anaïs et moi on va délivrer les mutants. On se rejoint tous à l’extérieur. Ok ? des questions ? Non ? Ok GO !.
Tout le monde semblé acquiesçait, tu t’approches rapidement du grillage à l’arrière du bâtiment, tu poses un genou à terre, sort le laser coupant que tu avais commandé quelques jours plus tôt, heureusement qu’il était assez discret pour que tu puisses le porté sur toi. En moins d’une minute tu dégages une entrée dans le grillage et tu t’y faufile rapidement, avançant en formation. Tu longes les murs, évitant soigneusement la caméra. Tu t’arrêtes faisant signe dans l’oreille à Mike pour qu’il puisse trafiquer la première caméra. « Mike, à toi, Maintenant !» Il te fait répond que c’est bon. Tu sais dorénavant que la caméra projette une image en boucle de l’entrée vide de toute présence. Vous n'avez que très peu de temps pour entrée. Tu te rapproches rapidement suivis des autres. Devant la porte, Caesar te donnes ton sac avec le matériel, tu y sors un petit boitier, que tu connectes rapidement. Des numéros se mettent à défiler à toute vitesse. Un sourire apparaît alors sur ton visage lorsque ceux-ci ce stop net devant l’écran.
Tu peux y lire une série de chiffres que tu composes rapidement sur le digicode. Un bruit retenti, signe qu’elle vient de s’ouvrir, tu reposes rapidement le boitier, fait signe aux autres de se tenir prêt. Le coeur battant, tu ouvres la marche poussant la première porte, tombant nez—nez avec un agent, alors qu’il dégaine son arme, tu lui souris arquant un sourcil, et rapidement sans y prendre gare tu lui fonces dessus, faisant un dérapé glissé sur le sol, donnant un coup de couteau à l’arrière de l’artère inféro médiale du genou, lui passant entre les jambes, te relevant aussi aisément qu’un signe, tes mouvements sont coordonnés, tu n’hésites pas une seconde tu l’achèves en faisant une dès tes acrobaties dont toi seule est capable. En moins de deux minutes l’agent est à terre. Tu fais signe aux autres d’avancer que la voix est libre est foncé directement à la deuxième porte 3, 2, 1 la porte s’ouvre de nouveau le coeur battant, finalement ça t’avait manqué d’être dans le feu de l’action …
Mots:757
love.disaster
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Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Jeu 31 Déc - 21:10
| Blacklisted & assassins | Finale 1 |
Hunter of Freedom
C’était le grand jour et j’étais déjà en route vers Kanatrix. Durant le court trajet, j’élaborai des plans de secours. Un plan B et un plan C. Finalement, j’eus assez de temps d’en faire pour chaque lettre de l’alphabet. Je garai ma voiture dans un stationnement pas très loin du lieu ultime. Matt m’eut mis en contexte puisque je n’avais parlé à personne d’autre. Ce que je savais, c’était qu’on ne serait pas seul et qu’on allait tous s’aider puisqu’on partageait un but commun. Sauver les mutants qui s’étaient mis en danger. Je n’avais pas utilisé mon pouvoir depuis plus d’une semaine pour avoir l’énergie nécessaire pour cette grande journée. Un camion ralentie dans ma direction et s’arrêta dans un angle à l’abri des caméras. C’était mes alliés.
J’avais un rôle très simple. Je devais me glisser et foncé directement dans le corridor des cellules occupées. Si on se mettait au travers de mon chemin, je les pousserais. Personne ne se met dans mon chemin quand j’ai un but. Je prendrais l’apparence d’un membre de Kanatrix et j’ouvrirais les quatre cellules avec mes nouvelles empreintes digitales et oculaires. Une fois tous ouvertes, je serais surement accompagné pour m’aider à tous les sortir.
Ça, c’était ce que je m’imaginais être le scénario idéal. Cependant, comme dans chaque bon film d’action, les méchants viennent toujours pourrir le Plan A. Voilà la raison de l’existence de chaque lettre de l’alphabet.
J’eus sorti de ma voiture et je marchai dans la direction du petit groupe qui commençait à s’infiltrer à l’intérieur. Kanatrix ne m’était pas nouveau et je connaissais les lieux et les pièces. Une femme avec un rayon laser brula la clôture pour nous faire une entrée et se colla au mur. Je fis donc pareil. Les caméras furent désactivées et l’entrée était libre pour nous. J’entrai rapidement, longeant les couloirs. Furtivement, un homme devint ma cible. Je m’approchai de lui assez lentement pour ne pas paraître suspect. Mes poings se serrèrent et je l’assommai assez fort pour qu’il parte pour un bon moment dans les vapes. Un deuxième se jeta sur moi dont je mis hors de nuire à nouveau en lui envoyant un point au thorax. D’un deuxième coup, il tomba sur le dos. Je gardai la barre de fer qui m’avait servi à mettre l’homme hors de services sous ma ceinture et je tirai les hommes dans une pièce noire. Je cachai les corps derrière une simple étagère, j’allai avoir fini avant qu’ils se réveillent. Je posai ma main celle d’un des hommes. Je figeai pendant une longue minute le temps que la métamorphose se complète. Je fouillai leurs poches et chaque recoin ou l’on pouvait cacher des choses qui me seraient utile. Je ramassai l’une de leurs petits vestons et je l’enfilai maintenant prêt à continuer le plan. On n’y verra que du feu. J’avais l’air de ses robots télécommandés qui travaillaient à Kanatrix. J’ajustai ma nouvelle veste avant de sortir de la pièce comme si rien ne s’était passé.
501 mots Emi Burton
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Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Ven 1 Jan - 2:19
Blacklisted & Assassins × ft. Equipe 1
Que faisait-elle là déjà ? C'était la principale interrogation qui avait animé son trajet et ses écouteurs n'avaient même pas réussi à l'en détacher. Il faut dire que tout était réuni pour lui rappeler ce qu'elle s’apprêtait à faire, c'était ça de faire le voyage avec ce petit groupe prêt à l'action. Froid ou en ébullition, tous les esprits qui l'entouraient ne pouvaient l’apaiser et pourtant elle savait qu'une part d'elle était calme et c'était ce murmure qu'elle tâchait d'écouter avec application.
Lorsque les portes du camion s'ouvrirent Anaïs retira un de ses écouteurs, elle n'était pas encore prête à se lancer dans cette vieille arène, elle avait encore besoin de son assistance musicale mais garda une partie de son attention tournée vers les paroles de Caesar. Ils furent rejoints par une nouvelle âme et le grillage céda aux soins de Sasha, l'empathe emboîta donc le pas de tout ce petit monde en retirant son deuxième écouteur qu'elle laissa pendre du col de sa veste car cette simple proximité était rassurante.
Une courte attente après quelques pas à l'abri du regard inquisiteur des caméras et Anaïs renouait doucement avec des sensations presque oubliées... Ce lieu elle le connaissait, les âmes qui le peuplaient avaient changé mais elles portaient les mêmes signatures glacées. Mais elle était prête n'est-ce pas ? Elle avait mûri, elle tenait on ne peut plus la forme... Il n'y avait pas de raison que la situation ne lui échappe... Son visage se durcit, rendant visuel cette armure qu'elle avait préparée alors que sa main attrapait une de ses rares armes.
La porte finit par s'ouvrir, les premiers entrèrent et Anaïs décida d'emboiter le pas de Caesar, monter en première ligne n'était pas pour elle, couvrir les arrières lui convenait par contre parfaitement. A peine entrée, un homme est à terre dans son sang et la jeune femme se demande brièvement comment elle avait pu échapper à sa souffrance. Mais son interrogation muette fut bien rapide car d'autres souffrances résonnaient au bout du labyrinthe dans lequel ils étaient entrés.
Ils se dispersaient et les locaux ne semblaient être relativement tranquilles en cette soirée. Progressant dans un couloir, Anaïs perçu une présence avant de tourner son visage vers une silhouette qui sortait d'une pièce annexe. Son sang ne fit qu'un tour et elle leva son arme vers l'homme avant d'hésiter... Ce visage lui était inconnu mais elle n'avait aucun mal à reconnaître son uniforme. Cependant son esprit... Son esprit lui ne correspondait pas, pas totalement du moins. Cette signature elle l'avait croisé, il y a quelques instants de cela, c'était le dernier arrivé. Pourquoi ? Comment ? Il ne semblait pas hostile, son impression était fondée, Anaïs abaissa son arme et continua d'emboîter le pas de Caesar, décidant de remettre ce mystère à plus tard.
SOS : 1242 ÂGE : quarante-deux printemps CÉLÉBRITÉ : edward cute norton NATURE : mutant (organique) EMPLOI : ancien généticien et assistant principal pour le projet nine-thirty; ancien superviseur de l'ASG; ancien bras droit de docanov, nouvel allié fidèle à marshall, chef des rebelles POUVOIR(S) : berserker - edwin peut se changer en ours, en sanglier, en loup, ou en un monstrueux et dangereux mélange de ces trois mammifères. lors de ses transformations, cet homme d'ordinaire assez doux, n'est plus que rage, furie et violence
Assis à son bureau, il joue distraitement avec un crayon. Jamais cet endroit ne lui a paru si impersonnel. Libéré de tout bien. Libéré de toutes informations. Son regard est fixé sur l'horloge au mur. Tic. Tac. Jamais un son ne lui a semblé aussi sordide. Et il attend. Il attend que les mutants envahissent l'ASG. Il attend que l'équipe de Caesar prenne, le temps d'un sauvetage, possession des lieux. Il attend de pouvoir enfin retourner sa chemise. Pourtant, il sait qu'il n'est pas trop tard. Il pourrait encore courir dans le bureau d'Adrian et lui apprendre tout ce qu'il sait au sujet de l'attaque qui se prépare. Mais il ne le fera pas. Le temps est venu pour Kanatrix de payer pour tout le mal qu'elle a pu faire. La grande aiguille soudain se fige durant une seconde qui lui paraît interminable. C'est l'heure. Il pose le crayon et se lève. Est-ce qu'il a peur ? Evidemment. Peur de perdre ceux qu'il aime - et Dieu sait qu'ils sont plus nombreux que ce qu'il pensait. Est-ce qu'il appréhende la suite des événements ? Bien sûr. Parce qu'Edwin a ce cruel défaut d'être humain. Ce même défaut qui l'a empêché de rester fidèle à Adrian. Un dernier tour d'horizon pour vérifier qu'il n'a rien oublié et le voilà qui s'engage dans le couloir, d'un pas sûr et un masque d'impassibilité ornant son visage.
Il marche rapidement, se déplace dans les couloirs de Kanatrix avec cette douloureuse et persistante impression qu'il est ici chez lui. Un rêve éveillé dû à un lavage de cerveau réalisé il y a plusieurs années et dont Liam l'avait tiré. Alors, pourquoi ce pincement au cœur ? Edwin prend longtemps conscience de la difficulté de la tâche et du rôle qui l'incombe. Le fardeau qu'il porte, malgré lui. À la fois un traître et un ami. Mais combien de temps l'amitié peut-elle encore durer dans pareille situation ? Il croise un agent de l'ASG. Un visage inconnu et familier qui lui adresse un signe de tête et auquel il répond de la même manière. Un homme qu'il n'a pas pu envoyer à l'extérieur. Car voilà ce qu'il a fait, le directeur de l'ASG. Épargner le plus d'agents possible : des fils, des filles, des pères et mères de famille. Des personnes conditionnées et manipulées tout comme lui l'était. Il lui a été aisé d'éparpiller les agents çà et là dans la ville, à la recherche de mutants imaginaires. Cela lui permet de laisser la voie libre aux agents de ce Caesar. Cela lui permet aussi d'avoir la conscience plus tranquille. Et il espère de tout cœur qu'il n'y aura pas trop de victimes, malgré tout, et que son humanité ne causera pas sa perte.
Les couloirs sont vides lorsqu'il porte la main à sa poche. Il en ressort une oreillette qui, il espère, le connectera à la dure réalité. Et c'est en effet un grand soulagement que de constater qu'elle fonctionne. Il presse le pas et, tout en marchant, retire son costume de directeur. La veste tombe sur le sol en silence et il la laisse là sans un remord. Que quelqu'un la voit lui importe peu désormais. Il est trop tard, la machine est lancée. Il retire sa cravate, puis sa chemise, sous laquelle il porte l'uniforme des agents de l'ASG. Une tenue de combat plus appropriée qu'un élégant costume qu'il n'a jamais bien porté. Lorsqu'il arrive enfin devant la porte, tout se passe très vite. Ses gestes sont mécaniques, rapides. Il pense aux agents qui ne se doutent de rien, il pense à sa sœur, à River. Un « bip » retentit. Il inspire profondément et, tout en s'écartant, tire la porte vers lui, ouvrant la voie aux mutants. Un signe de tête adressé à Caesar lorsqu'il passe devant lui et le voilà emboîtant le pas de l'une des équipes – celle qui fera diversion – avec la ferme intention d'épargner le plus de vies possible. Tout cela sans que son regard ne croise une seule fois celui des rebelles.
SOS : 1208 ÂGE : trente-neufs années gaspillées. CÉLÉBRITÉ : michael -hot et sexy- fassbender. NATURE : humain, pitoyable petit humain. EMPLOI : militaire de carrière au sein de l'ASG, commando spécial, traque et rameute les mutants, boulot qu’il ne supporte plus. LOCALISATION : quelque part ou ailleurs, cela n'a plus d'importance maintenant.
Jamais les couloirs de l'ASG ne lui avaient parut aussi longs, sans fin, un labyrinthe a taille humaine que Néron connais presque par cœur à force d'y errer sans plus de but. Sa démarche est rapide, et pourtant il semble bien trop long, ses mains assurent des gestes précis tandis qu'il vérifie que le chargeur est plein et pourtant il lui semble trembler légèrement. Une simple impression. Serait-ce la peur ? Néron secoue la tête et tourne dans le dédale de couloir, arrive devant une porte fermée. Le temps de glisser son arme dans son étui et le voilà déjà pénétrant dans la pièce sombre, il fronce les sourcils et tombe sur Narcisse. Il l'observe un cours instant, moins d'une seconde. « Bouge. Les mutants sont là. » Il semble parfaitement calme, fait preuve de sang-froid, il ne doit pas paniquer. Une demie seconde de battement, Néron se contente de déposer la seconde arme qu'il porte sur la table face à lui, il entre ouvre la bouche, mais se ravise, commençant alors à faire demi-tour, puis il s'immobilise de nouveau dans l'encadrement de la porte. « Fais attention. » Il ne l'attend pas, n'en a pas la force.
Ils finiront par y arriver, les mutants, arriver à leurs buts, libérés les gosses. Néron garde son calme. Deux portes de sécurités gardent l'entrée de l'ASG, ils ont forcément étés aidés, par qui, il ne sait pas, une taupe, quelqu'un de bien intégré, forcément. Et il se fige un cours instant, ce n'est pas possible, cela ne peut pas être Narcisse, il le sait, ce n'est pas possible. Il écarte cette pensée et se concentre sur les autres agents en services, des personnes lambda et en comptant mentalement il se rend compte qu'ils ne sont que six. C'est peu, ou peut être déjà trop. Combien de vies seront épargnées après ce massacre ? Une seule, deux ? Toutes ? Sans doute pas. Il se rapproche du poste de sécurité, comment les mutants ont-ils réussis à pénétrer par l'entrée presque principale ?! Il entend déjà le bruit trop familier du combat résonner dans ses oreilles. Encore quelques mètres à franchir et le voilà arrivé, sans attendre, c'est pour aider un collège aux prises avec un mutant qu'il s'élance, pas d'arme à feu pour le moment, mais Néron ne refuse jamais d'utiliser un couteau que lui tend l'autre homme, un simplement hochement de tête pour le remercier. Du coin de l'œil il aperçoit la silhouette de Narcisse, son regard se porte presque automatiquement autour de l'autre homme, un mutant s'approche dangereusement de lui par l'arrière. Néron jette un regard autour de lui et se dirige d'un pas certain vers Narcisse, prêt à l'aider. Et c'est alors qu'il s'apprête à l'aider qu'une silhouette bien trop familière apparait dans son champ de vision, dans l'autre camp. « Edwin ?! » Un moment d'inattention, une chance de plus pour les mutants, une chance de moins pour Néron de s'en sortir indemne.
Dernière édition par Néron Erisson le Dim 3 Jan - 21:39, édité 1 fois
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Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Dim 3 Jan - 21:38
Le moment tant attendu était enfin arrivé. Celui de foncer dans le tas et d'arracher sa sœur des griffes de ces malfrats et de retrouver sa vie normale. Roman ne grimaça pas lorsque le chef donna ses dernières instructions, rappelant à tous la mission qu'ils devaient accomplir individuellement. Pourtant, le jeune homme aurait pu se sentir gêné s'il avait été dans une condition différente. Il ne s'était, concrètement, jamais débarrassé de quelqu'un. Il ne s'était jamais servi de son pouvoir pour se battre ou pour aller en première ligne ; c'était plutôt tout l'inverse. Sans entraînement de type paramilitaire, Roman n'était donc pas le plus fort combattant de la troupe. Et pourtant, il avait été désigné pour mettre à terre six adversaires. Six. La confiance qu'on lui accordait était un véritable honneur, mais Roman savait qu'il n'avait pas intérêt à se planter, et pas uniquement pour se montrer digne de la mission qui lui était confiée : s'il ratait, il risquait bien de ne plus jamais revoir sa sœur. La peur ? Oui, elle était là, bien présente au fond de son cœur. Cependant, le jeune homme savait qu'il y avait bien pire que le fait de devoir se battre contre six agents. L'horreur véritable se cachait derrière les portes de cette bâtisse étrangement ordinaire, compte tenu des sombres activités auxquelles certaines personnes dégénérées se livraient. Roman ne pouvait pas avoir peur de l'opération alors que ses pires cauchemars se tenaient tapis face à lui. C'était peut-être cynique, mais il relativisait. Il n'avait pas le droit d'avoir peur. Pas lui, bien tranquille à l'extérieur. La première porte était ouverte, les premiers agents de l'équipe de sauvetage se précipitaient pour neutraliser les premiers ennemis. L'un des sauveteurs disparut assez rapidement de sa vue – Roman savait qu'il devait s'infiltrer, mais cela ne le concernait pas. Il attendait plutôt avec impatience l'ouverture de la seconde porte. Il se concentrait déjà sur ce qu'il allait faire par la suite. Impossible de savoir avec précision comment il allait réagir ni si ce plan réussissait. Le plus important était déjà de ne pas se faire abattre par un des agents qu'ils croisaient sur le chemin. Mais Roman eut de la chance, tout se passa comme prévu. La deuxième porte arriva plus vite que prévue. Roman sentit les battements de son cœur s'accélérer, mais il ne savait pas si cette accélération était due à la perspective du combat ou à la joie de pouvoir enfin utiliser son pouvoir. Il sentait clairement des fourmillements dans le bout de ses membres, comme si ces derniers lui reprochaient son inactivité. Patience, pensa Roman, ce sera bientôt à moi. La porte avait à peine commencé à s'ouvrir que déjà, Roman était prêt. Les mouvements des personnes l'entourant lui parurent plus lents que jamais. Une vague d'euphorie monta en lui, effaçant temporairement toute anxiété. Le temps que les autres comprennent que le moment était enfin venu, Roman était déjà passé à l'action. Son pouvoir activé, il passa la porte dès que cela fut possible et analysa la situation aussi rapidement que sa nouvelle vitesse le lui permettait. Les six agents étaient là. Comme prévu. Roman ne réfléchit pas, mais il n'oublierait jamais les gestes qu'il avait accomplis. Il s'en souviendrait toute sa vie, les regretterait parfois, mais les trouverait sans doute justifiés. Et de un. Il n'avait pas eu le temps de voir venir Roman que celui-ci était déjà sur lui. Un deuxième, avant que les six ne se rendissent compte qu'un des leurs était déjà tombé. Le troisième commençait à comprendre quand Roman s'en prit à lui. Le quatrième était parfaitement conscient d'être attaqué, mais il ne savait pas d'où. Le cinquième était tout aussi désorienté que le quatrième et n'opposa pas la moindre résistance. Le sixième avait compris ce qui se passait : il voulut attaquer Roman, qui n'eut pas de mal à esquiver. Il resta bientôt la seule personne vivante de ce côté de la porte. Mais la tête lui tourna, tandis que la blessure par balle qu'il avait reçue lui rappelait son existence. Heureusement, il n'avait pas eu besoin de se battre, juste d'un petit sérum qu'il avait fallu injecter à six hommes, mais le prix à payer était tout de même fort. Roman s'écroula. Non seulement sa résistance était amoindrie depuis un mois, mais en plus, plus il multipliait les mouvements rapides et précis, et plus son pouvoir lui rappelait ses propres limites. Roman se sentit plein, comme s'il sortait d'un repas trop copieux et trop arrosé. Un peu sonné, il laissa ses camarades investir les lieux. Si on lui laissait une minute pour se reposer, il irait mieux. Il pouvait toujours les rattraper s'il se faisait distancer. Son pouvoir l'appelait, vague vorace qui désirait l'engloutir tout entier.
SOS : 535 ÂGE : vingt-cinq ans de pur désastre dans la communauté humaine. CÉLÉBRITÉ : dylan o'brien. NATURE : humain. EMPLOI : il est actuellement serveur dans une auberge à temps partiel. LOCALISATION : washington DC POUVOIR(S) : aucun.LES EFFETS SECONDAIRES : aucun.
C'était le fameux jour. Le fameux jour où tout va commencer et où une histoire va être terminée. Matt reprit son activité : qui résumait à regarder les alentours en attendant que tout commence. Il attendait pertinemment le départ pour commencer son rôle. Chacun avait quelque chose à faire, une quête bien précise. La peur était là, bien sûr, elle était encrée dans son propre coeur. Il n'arrivait plus à tenir en place tellement la tension était lourde. Il n'était pas du genre à être hyperactif, mais en ce moment, plusieurs jours d'entraînements ont passés pour être finalement prêts à ça. Tout le monde était au point, enfin il espérait que ça se passe comme prévu. Qu'il n'y ait pas de retournement de situation. Et de même dans le cas ennemi. Il n'espérait absolument pas que l'une de nos deux équipes ne réussisse pas son marché, leur quête donnée.
Matt n'était pas le meilleur combattant de la troupe mais il dut s'abstenir de ça. Si l'envie de libérer sa meilleure amie ainsi que ses amis, il allait sûrement mettre toute sa propre volonté dans cette mission. C'était la phase finale dans cette affaire. Si quelqu'un en vient à louper quelque chose, s'en était fini de nous, sûrement.
Un bruit à l'extérieur retentit, signe que la porte principale était déverrouillée, la toute première, et sûrement pas la dernière. Le bâtiment semblait être énorme comparé à eux. Matt prit son courage à deux mains avant de se redresser, une arme petite de taille mais étrangement puissante. Il la planqua dans un coin de son pantalon avant de redresser la tête, attendant le fameux signal. Plusieurs membres du coin ennemi avaient été neutralisés avec autant de facilité qu'il lui en fallut quelques secondes pour se dire d'y aller. C'était l'heure. L'heure fatidique. Il avait hâte de passer à l'action. Malgré tout, il s'avança avec son équipe pour commencer à faire ce qu'il fallait faire. L'autre moitié de son équipe était restée en dehors, afin de ne pas surcharger l'affaire. Ils étaient restés en dehors pour réceptionner les mutants qui s'en seraient sortis.
Matt s'avança alors en deuxième ligne dans l'affaire, sa main placée sur son arme cachée au cas où quelqu'un en viendrait à l'attaque. Matt dirigea son regard dans une zone déjà exploitée ou un des gardes qui bloquaient la première porte avaient été exterminés. L'homme baignait dans son propre sang mais il s'en fichait. Il enjambea le garde qui avait été tué au champ de bataille avant de pointer son arme dans une direction opposée. Du bruit l'avait attiré jusqu'ici. Les couloirs lui semblaient insaisissables et impossibles à contourner. Il retira son doigt de la gâchette avant de la remettre dans son pantalon, à l'abri des regards. Tout semblait facile à faire. Il entendit des coups de feu dans les zones où la première équipe s'était aventurée. Il marcha alors dans les bruits incessants avant de fixer une masse qu'il n'avait jamais vue avant. Il n'avait pas l'air méchant, mais il faut toujours se méfier de l'eau qui dort. Son corps était normal et il semblait chercher quelque chose. Matt prit son arme entre ses mains avant de tirer d'un coup sec dans la jambe de son adversaire. Il se rua sur lui, enchaînant des coups dans une facilité incroyable. Il s'arrêta, reprenant son souffle. Il pointa l'arme sur le crâne de son ennemi qui n'avait pas bougé d'un pouce avant de tirer. De sang froid. Aucune émotion n'avait été exploitée. Il remit son arme à sa place avant de marcher dans le couloir, reprenant la route en direction de son équipe.
Il se demandait en même temps s'il ne devait pas faire autre chose. Il avait tué un garde qui rodait aux alentours sans que personne ne le remarque. C'était une infiltration réussie. Il enjambea la plupart des corps qui s'y trouvaient avant de retrouver son équipe qui avait avancé un peu plus loin. La bataille était énorme et le sang coulait à flot. Il n'aimait normalement pas ça. Le sang et tout ça ce n'était pas son idéal. Il faisait ça pour eux. La peur était toujours présente mais un peu moins avec le temps auquel ils avançaient. Plusieurs gardes s'étaient bloqués sur leurs chemins mais ils avaient été tués, de sang froid cette fois-ci. Sans réfléchir, Matt prit la direction d'un autre couloir afin de faire ce qu'il avait toujours voulu faire. C'est à dire de parvenir à ses fins. Faire ce que nous devions faire au départ. Une boule au ventre commença à se former dans son ventre au fil et à mesure auquel il s'avançait. Il n'avait plus sorti son arme mais il savait que s'il devait tuer, il allait le faire. Il n'allait certainement pas se laisser tuer par des gardes qui ne toucheraient certainement pas à une mouche. C'était l'enjeu.
mots : 874 (je me suis lâchée là aha) ♥
SOS : 143 ÂGE : 30 ans CÉLÉBRITÉ : Scarlett Johansson NATURE : humaine forever ! LOCALISATION : Washington DC
CARNET RÉPERTOIRE DE CONTACTS & LIENS: DISPONIBILITÉ RP: Sasha Kurlienkov
keep watching world, dude
Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Jeu 7 Jan - 11:08
Tout c’était passé extrêmement vite, la deuxième porte avait été ouverte, laissant place à Edwin, comme il avait convenu au départ. Un rapide signe de tête et tu t’étais écarté de la trajectoire de Roman pour qu’il puisse s’avancer et mettre hors d’état de nuire les six agents qui se trouvaient être présent dans la pièce. Il s’était alors élancé, les neutralisant sans presque aucun effort, cela semblait si simple pour lui. Rapidement tu l’avais perdu de vue, vu la rapidité à laquelle il enchainait les mouvements, littéralement, à la vitesse de la lumière. Tes yeux eurent du mal à suivre. Tu avais rapidement abandonné l’idée de tenter de le suivre du regard. L’espace d’un instant tu te demandes comment aurait été ta vie si tu avais été comme eux. Sans cesse pourchassé, peut-être mutilé. Tu te ravises avant de reporter rapidement ton attention sur la scène qui se déroule devant tes yeux. Les agents de l’ASG arrivent par tous les côtés, alors tu t’étais élancé dans la mêler, rejoignant l’équipe afin de neutraliser le reste des agents. Le coeur tambourinant dans ta poitrine, tu t’occupes de la seule chose dont tu dois t’occuper. Entrée dans la salle des opérations, là où le cingrale se trouve. Mais visiblement tu n’as pas l’air d’être la bienvenue puisque au te tirent dessus.
Salopard. Tu esquives rapidement les balles qui fusent, dont une qui manque de peu de te toucher. L’adrénaline monte, ta poitrine monte et descend au fur et à mesure que ton rythme cardiaque augmente alors que tu entends les agents parlés à l’intérieur, tu grognes mécontente. Tu as horreur qu’on te résiste, alors tu comptes 3, 2, 1 et tu prends une grande inspiration et t’élances, les flingues devant toi, tu tires sur la serrure et donnes un grand coup d'épaule dans la porte qui finit par céder, tu te mets à tirer sur les agents, tu esquives deux balles. La bataille fut rude, non sans une égratignure ou deux, peut-être un petit cocard mais au bout du compte, un faible sourire apparut sur tes lèvres lorsque tu avais finalement neutralisé les agents présents dans la poste de sécurité. À présent des corps jonchés le sol, tes mains glissées sur les claviers des ordinateurs à grande vitesse, aidez de Mike qui se trouvait à l’extérieur, tu prenais possession petit à petit des caméras, portes de l’aile Est. Tu t’étonnais toujours de la puissance que tu avais entre tes mains, une simple clé USB que tu prenais le soin de connecter au serveur de l’entreprise et hop le tour était joué. Tu contrôlais la plupart des installations de l’ASG. Hunter, Edwin, puis au fur et à mesure tous, prirent leurs positions. Toi, comme convenu tu resterais en retrait, en renfort si quelque chose devait mal ce passé, tu les guiderais pas à pas avec l’oreillette et tu dégommerais deux, trois agents s’il le fallait. Tu étais prête à tout pour que la mission réussisse et les sortir de cet enfer. Tu fais alors signe que tu contrôles les portes aux autres tandis qu’ils s’engouffrent à la recherche des prisonniers.
acidbrain
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Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Jeu 7 Jan - 22:36
| Blacklisted & assassins | Finale 1 |
Hunter of Freedom
Je levai ma tête aussitôt après avoir serré de nouveau les lacets de ma nouvelle paire de chaussure et mes yeux se gelèrent dans la glace noire face à moi. C’était un de ses fameux miroirs dont on peut voir de l’extérieur, mais impossible de l’extérieur. J’étais inconnaissable. Un parfait sosie du physique jusqu’au plus loin de l’ADN. J’avais les même empreintes digitales que l’homme, j’allais pouvoir déverrouiller les cellules avec mes mains ou plutôt les siennes. Je prenais trop de temps et dans ce genre de mission c’était le temps qu’on devait éviter de faire couler et non le sang. Ce n’était probablement pas les plus belles pensées que je pus me permettre en tant que policier, mais c’était les seules qui vinrent à moi. Des bruits résonnèrent à moi depuis la direction d’où j’étais entré. Je tournai la tête brusquement et mes prunelles se posèrent sur autre choses que ses fameux murs blancs qui aveuglent en permanence. De jolis yeux verts ou bruns m’ensorcelèrent un petit instant, comme si à cet instant on venait de scanner mon âme. Elle était une de mes alliées et je n’avais pas le temps pour une partie de drague ou pour tout simplement lui expliquer qui j’étais réellement. Je tournai les talons rapidement dans la bonne direction. En route vers l’aile Est. J’espérais que les portes à simple verrou soient déverrouillée, car déverrouiller celles-ci ne comptaient pas dans mes tâches.
Effectivement et heureusement, de mon côté, le plan fonctionnait à merveille. Les portes étaient déverrouillées et il me restait que quelques pas pour atteindre les cellules qui renfermaient les mutants. Un travailleur de Kanatrix m’interpella par le nom dont je devais avoir. Et voilà qu’on me ralentissait pour une autre fois. Ce que j’aimais le plus dans cette mission, c’était que j’avais plusieurs coups d’avance face à l’équipe adverse. Je m’approchai de l’homme avec un sourire amical espérant que le propriétaire de se corps soit souriant. En posant mes mains sur ma ceinture comme si j’attendais qu’il me parle, je pris la barre de métal que j’y avais caché et je l’assommai. Encore une fois, un corps tombait au sol. L’avantage d’être policier c’est que je savais l’endroit à viser pour ne pas rater la cible. Plus question de faire le ménage des corps et de les cacher, on était certainement découvert. Je fouillai rapidement dans le trousseau de clefs que l’homme avait et j’engageai ma course vers les cellules. Je courrai et je ne m’arrêtai pas. C’était aussi impossible de m’arrêter pour eux.
J’arrivai devant la première cellule d’où clignotait les lecteurs d’empreintes digitales. Mes doigts qui se refroidirent vue l’adrénaline qui parcourait mon corps se collèrent aux détecteurs de la première porte. Peu de temps après que la lumière verte scintille, le système exigea l’analyse oculaire. Pour qui me prenait-elle. Cette machine était la plus facile à duper pour moi. Je regardai l’endroit indiqué et la lumière blanche fit un allé retour analysant ma prunelle. La première porte se glissa entre les murs libérant le premier. J’entrai rapidement dans la première cellule dont le prisonnier était un mutant assez frêle qui n’avait pas été traité avec douceur. Je déliai les chaines qui maintenaient ses poignets grâces aux clefs que j’avais trouvé dans les poches du dernier agent que j’eus mis au plancher. Je sortis de sa cellule le laissant se rafraichir la mémoire et se préparer à sortir d’ici. L’équipe qui devait les sortir n’allait plus tarder. J’ouvris la deuxième cellule de la même façon et j’exécutai les mêmes étapes avec la rouquine mutante qui trainait dans celle-ci. Ils avaient tous l’air détruit. J’ouvris maintenant la troisième dont je déliai les poignets de cet autre homme qui se réveillait au même moment. Je me rappelai au même moment qu’il allait me falloir une de ses chaines pour la capture dont on m’avait glissé un petit mot. J’enroulai les chaines autour de mon épaule et j’allai ouvrir la prochaine au moment où mon équipe de renfort et de sauvetage arriva. Je fus soulagé. Tellement que j’en oubliais presque la dernière cellule. J’ouvris la porte de la même façon que les autres. Je jetai le trousseau de clefs dans la cellule qui allait servir à défaire les liens de jeune femme qui était supposée être là. Je n’y avais pas jeté un coup d’œil, car j’avais peur de manquer ma cible. Je lançai donc à mes coéquipiers de s’occuper de la dernière cellule qui sans le savoir était vide. Je m’élançai dans les couloirs sans perdre plus de temps.
J’arrivai à l’endroit qu’on m’avait suggéré de me diriger via l’oreillette. Je me collai au mur pour pouvoir observer la situation et savoir à qui j’avais affaire. Tout était parfait, je suivis ses pas de derrière dans l’apparence d’un agent de Kanatrix. Rien d’alarmant quand la plupart d’eux courent dans tous les sens. À un tournant, Je me glissai entre une porte pour savoir quand attaquer. Je l’observai notant rapidement chacun des détails dans ma tête. Néron s’arrêta voyant un de ses alliés en alerte. Plus le temps de laisser les autres se mettre en travers de mon chemin. Je sortis assez discrètement de mon endroit, passant près de Néron. Je me rapprochai de sa droite et j’appuyai en étirant mon bras sur son épaule gauche. Un bon vieux jeux très efficace. Au moment où il retourna la tête dans ma direction, je lui envoyai l’un de mes poings à la tête. Je le soulevai au niveau des jambes pour ensuite l’écrasé au sol. Mes techniques de policier m’avaient appris à assez bien me battre. En voilà la preuve, ce pauvre Néron était sonné pour peu de temps. Je passai les chaines à ses poignets derrière son dos en fermant les verrous ainsi qu’en passant un bout de tissus devant sa bouche l’attachant aussi à l’arrière. Ceci devait le tenir plus ou moins muet pendant le trajet. Comme si j’étais seul, je le soulevai tel un prince transporte sa princesse. Pour moi, c’était plutôt signe de victoire. J’avais accompli ma mission de A à Z. Certains de mes alliés passèrent à côté de moi et faisait savoir que le plan n’avait pas échoué. La route vers la liberté me parut longue puisque j’avais ce poids lourd à transporter. Il commençait à s’agiter un peu sortant de sa phase somnolente. J’étais à la sortie et le camion trainait toujours au même endroit. La porte arrière du camion s’ouvrit et je lançai le corps à l’intérieur. Je grimpai par la suite à l’intérieur m’assoyant devant ma prise. Mission accomplie.
1 092 mots Emi Burton
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Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Ven 8 Jan - 1:23
BLACKLISTED AND ASSASSINS —
— EQUIPE 1
La jeune blonde fit les cent pas entre les quatre murs de son bureau. L'attente interminable la rongeait sur place à force de regarder l'heure avancer. Pourtant il ne restait plus que quelques minutes mais cela lui parut de longues heures. Le crayon en bouche qu'elle mordit fortement ne ressemblait plus qu'à un morceau de plastique mâchouiller de forme carrée. D'un air exaspéré, elle déposa ce qui était auparavant un stylo avant qu'il n'y crache son encre. Des spasmes vigoureux lui indiquaient le taux de stress qui montait aux files des secondes qui s'écoulèrent. Ses yeux bleus azurent vêtu d'une couche de mascara scrutait l'aiguille de l'horloge qui tic-tac dans sa direction sans arrêter. Elle prit une grande respiration avant de s'élancer vers la porte qui la mènerait au couloir des salles opératoires. Ray avait entrepris de se rendre à l'armurerie pour se préparer au combat. Lorsqu'elle pénétra dans la vaste salle, cela ne lui parut désert qu'à l'habitude. Le personnel était minime mais pas moins paresseux. Chacun était à son poste près à toute éventualité. Elle essaya de traverser la pièce du mieux qu'elle pouvait à travers cette fourmilière. Un garde gardait l'armurerie tout près de son objectif où avait été ranger les armes à feu. D'un pas déterminée elle s'élança dans sa direction mais il finit par lui bloquer le chemin en lui employant le bras gauche. D'un grincement de dents, elle se soustrait de son emprise le regardant, furieuse.
- Badge et Matricule, lui dit-il en pointant le récipient.
Le moment d'un instant, elle voulut lui arracher la tête mais fit ce qu'il lui demanda pour ne pas éveiller de soupçons. Donc, elle y déposa la petite plaquette dorée où son matricule avait été graver soigneusement lui autorisant l'accès. L'homme se mit hors de son chemin lui laissant le passage à elle seule. Rendue à la grille de sécurité, elle trafiqua le boîtier, coder, pour que toute autre personne qui voudrait y rentrer ne puisse y accéder. Dans la cage métallique, un sac avait été posté dans le recoin de la pièce avec son nom écrit sur un mince bout de papier. Délicatement, elle ouvrit la fermeture éclair et la referma automatiquement, un mince sourire apparu au recoin de ses lèvres. Satisfaite, la soldate retourna dans le corridor muni d'une bandoulière qu'elle avait placé pour épouser sa taille. Sur le chemin, elle s'arrêta à une porte de service pour s'y changer. La blonde déboutonna sa chemise la remplaçant par un chandail totalement opaque. Les fameuses bottes dans lequel elle y rangeait tous ses jouets étaient maintenant à ses pieds. Ray se hâta à ouvrier la dernière pochette pour y trouver le plus intéressant jusqu'à maintenant. Toutes les armes avaient été mise sur elle prêts pour la guerre. Elle se rua vers les escaliers les descendants par coup de cinq afin d'arriver le plus vite à destination. Lorsqu'elle atteind sa cible, elle se dépêcha de l'ouvrir. Une lumière extérieure aveuglant ses pupilles avant d'enfin distinguer les silhouettes qui se dressèrent devant elle. Le jeu pouvait enfin commencer.
SOS : 1208 ÂGE : trente-neufs années gaspillées. CÉLÉBRITÉ : michael -hot et sexy- fassbender. NATURE : humain, pitoyable petit humain. EMPLOI : militaire de carrière au sein de l'ASG, commando spécial, traque et rameute les mutants, boulot qu’il ne supporte plus. LOCALISATION : quelque part ou ailleurs, cela n'a plus d'importance maintenant.
Un moment d'inattention, un seul et la bataille et perdue, beaucoup trop de menace potentielle autour de lui et pourtant durant ces quelques secondes, le regard de Néron reste fixe sur Edwin, sur son ami avant d'être son supérieur, sur celui en qui il faisait confiance, une confiance aveugle, Edwin était l'ami avec qui il pouvait parler de son passé, avec qui il pouvait tout simplement être lui-même, parce qu'Edwin ne le jugeait pas, c'était celui sur qu'il il comptait il y a bien des années maintenant pour prendre soin de Maxime, mais à présent, peut-il lui faire encore confiance ? Néron n'a pas envie de répondre 'non', il a envie de pouvoir continuer comme si de rien n'était, mais cela ne sera plus jamais comme avant. Incapable de faire quelque chose, de bouger, incapable de réfléchir correctement, reflex humain, reflex bien trop humain à son gout et sur le moment il maudit Narcisse de l'avoir adoucis à ce point et cela sans même qu'il ne s'en rende compte. Narcisse. Il n'a rien à voir la dedan, ce n'est pas de sa faute, rien n'est de sa faute, il n'a rien à se reprocher, Néron, si. La fin du jeu est proche, trop proches, mais elle est là. Néron se retourne violemment pour se trouver face à un mutant -ou non d'ailleurs-. Reflex amoindris, pas le temps de protéger son visage. La suite n'est qu'évidente. Son dos qui heurte le sol dur et froid et sa tête qui rebondit violemment sur le carrelage blanc, la douleur qui se propage à une vitesse fulgurante dans le crâne, Néron a à peine la conscience d'esprit de porter une de ses mains à son crâne pour sentir le liquide poisseux, mais vital contre ses doigts, entre ses mèches de cheveux, il s'écoule lentement dans sa nuque malgré sa position couchée, avant de sentir le froid trop familier de chaînes autour de ses poignets, tout tourne, c'est fini, définitivement ou non mais cette partie est perdue. Son champ de vision s'obscurci considérablement et il est incapable de penser à quoi que ce soit d'autre que Narcisse. Néron est désolé, tellement désolé de tout ce qu'il se passe, le noir l'aveugle entièrement. game over
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Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Dim 10 Jan - 15:57
L'étourdissement passa rapidement, aidé par la constitution solide de Roman et l'habitude. Le jeune homme se releva et vit que de nombreux combats avaient eu lieu pendant qu'il se reposait. Le monde n'avait pas arrêté de tourner pour autant. Il fit une légère grimace en se rappelant qu'il y avait pris part, mais ses scrupules ne durèrent pas bien longtemps : ils avaient d'une façon ou d'une autre mérité ce qui leur était arrivé, aussi triste que cela puisse paraître. Roman avait tout de même du mal à éprouver de la fierté. Ce n'était cependant pas le moment de se relâcher, il restait encore une tâche importante à accomplir – la plus importante, en fait -, il ne pouvait donc se permettre de se reposer plus longtemps. Roman activa légèrement son pouvoir, de quoi se mouvoir plus rapidement que les êtres humains, tout en restant parfaitement visible. Il vit chaque membre de l'équipe remplir la tâche qui lui était allouée, et il éprouva une certaine admiration pour cette organisation parfaite. Certes, il avait eu un peu de mal à faire confiance aux traîtres qui les avaient aidés, puisque Roman n'était pas connu pour être un homme qui accordait facilement celle-ci, mais il devait se rendre à l'évidence : ils avaient parfaitement joué leur rôle. Il s'avança vers les cellules avec un soupçon d'angoisse. Il se souvenait un peu trop bien de l'époque de son emprisonnement et n'avait pas spécialement envie de revivre cette situation. Roman ne se rappelait plus si la personne qui avait ouvert la porte des cellules était un traître ou un infiltré. Ça n'avait pas vraiment d'importance. Il partit plus loin accomplir une autre mission. Roman, lui, se précipita vers les cellules pour rechercher sa sœur. Il fut soulagé de voir qu'Anthelme faisait partie des personnes sauvées, mais la nature étrange de leur amitié l'interdit de courir le serrer dans les bras, ce qu'il aurait pu faire s'il n'y avait eu sa sœur dans l'équation. Il s’inquiéterait plus tard des conséquences que la torture avait eu sur lui. Car une anomalie se manifesta très rapidement : il ne voyait Marah nulle part. Roman était déjà stressé lorsqu'il avait commencé l'opération, mais il ressentit à présent une vague de panique comme jamais il n'en avait connue. Elle ne pouvait pas ne pas être là. C'était impossible. Elle était peut-être ailleurs, seule, dans un état qu'il ne pouvait imaginer. Il devait absolument aller la chercher, quitte à fouiller tout le bâtiment s'il le fallait, quitte à y laisser la vie, mais il ne pouvait pas rester sur cet échec. Ce plan n'avait aucun intérêt s'il ne pouvait pas ramener Marah avec lui. Roman s'efforça de mettre en ordre ses pensées. Avant de foncer dans le tas comme sa nature impulsive pouvait l'inciter à le faire, il se devait de réfléchir un peu. Ensuite, il verrait ce qu'il ferait. Si Marah était encore en vie, rien ne pourrait l'empêcher de la retrouver. Mais si elle était morte... rien que l'idée lui faisait mal... si elle était morte, il ne savait pas vraiment ce qu'il ferait, mais il se doutait que ce ne serait pas très beau à voir.
« Marah, cria-t-il au premier prisonnier. Elle est où, Marah ? »
L'angoisse avait rendu sa voix aiguë. Roman recommençait à ressembler à l'homme brisé qu'il avait été lorsqu'il avait été la place des prisonniers. Mais il s'en foutait. Il y avait tellement plus important dans la vie.
SOS : 658 ÂGE : 22 ans CÉLÉBRITÉ : Holland Roden NATURE : Mutante (Pass-Mental) EMPLOI : Serveuse dans une auberge LOCALISATION : Perdue dans les limbes de son propre esprit POUVOIR(S) : Charlie possédait auparavant la capacité de lire dans les pensées, de posséder les corps, mais suite à un retour chez Kanatrix, les généticiens ont achevé le projet. Derrière ces prunelles émeraude se voile la mort. Charlie est considérée de manière folklorique comme étant une Banshee, une femme de l'Autre-Monde. Le cri de la banshee (nommé keening en anglais, caoinne en gaélique) est décrit comme le plus effrayant et le plus triste que l'on puisse imaginer. En effet, Charlie est une banshee crieuse (il existe trois types de banshee; laveuse des morts, pleureuse & crieuse). Ces hurlements annoncent la mort prochaine d’un proche, ou de quelqu’un d’important.LES EFFETS SECONDAIRES : Des migraines intenses et des sautes d'humeur fréquentes. Aussi a-t-elle l'impression d'avoir perdu une partie de son âme depuis qu'elle ne fait qu'un avec la mort. Après tout, qui s'en sort intact lorsque la mort vous entoure constamment?
CARNET RÉPERTOIRE DE CONTACTS & LIENS: DISPONIBILITÉ RP: overbooké ✗Charlie Anderson
Chacha - Reine des Koalas
Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Lun 11 Jan - 1:14
Black listed
and assassins
Ses doigts frôlèrent la surface du mur en pierre, traçant des lignes invisibles. Son esprit divaguait complètement au point où elle n'entendait même pas le vacarme à l'extérieur. Elle entendit des pas précipités devant sa cellule ce qui lui fit tourner la tête, sa main se figeant. Les pas passèrent sans s'arrêter ce qui provoqua un sentiment de soulagement chez la mutante. Ses doigts ne se remirent pas à danser cependant sur la pierre glaciale. Charlie restait silencieuse, fixant la petite fenêtre qui donnait sur l'extérieur. Elle était presque fascinée par les têtes qui passaient au pas de course. Elle vit une tête s'arrêter devant sa cellule. La mutante se plaqua aussitôt au fond de sa cellule, le mur froid contre son dos la faisant frissonner. La lumière vive qui inonda la cellule fit plisser les yeux la rouquine qui ressentit soudainement des mains s'activer autour de ses poignets. Elle sentit aussitôt la légèreté soudaine de ses mains. Elle continuait d'étudier le visage de l'homme, ses yeux émeraude ne le quittant pas. Il n'était pas humain. Elle le sentait. Elle finit par papillonner des yeux, l'homme sortant de sa cellule. Charlie ne bougea pas. Elle fixait la porte de sa cellule toujours ouverte, hésitante. C'était un piège? On la testait? Non, elle ne quitterait pas sa cellule. Pas question de leur donner une raison de la torturer de nouveau. Elle resta alors sagement assise sur son lit, son regard devenant soudainement vide d'émotions. Ses doigts s'entremêlaient alors qu'elle se remettait de nouveau à divaguer. Elle ne remarqua même pas la silhouette qui était dans le cadre de la porte et remarqua encore moins que c'était loin d'être un inconnu.
« Marah », commença à crier l'homme.
Charlie tiqua. Elle releva son regard devenu furibond. Ses poings se refermèrent sur ses cuisses alors que ses sourcils se froncèrent. La rouquine fit basculer ses jambes sur le côté du lit en se relevant, fixant toujours Roman dans les yeux.
« Elle est où, Marah ? » Continua-t-il. « Avec Lucrétia. Cette clé USB, ils y tiennent beaucoup », siffla Charlie, le regard pleins d'animosité.
C'est alors qu'une autre personne s'approcha de Charlie, rentrant alors dans la cellule. Il lui attrapa le bras lui intimant de le suivre. Charlie s'affola au toucher de l'homme, le frappant alors violemment pour qu'il la lâche. Ses grands yeux effrayés, elle tenait son bras alors que sa respiration était sifflante. Le soldat se tenait la mâchoire, ses yeux exprimant toute sa confusion. Elle ne voulait pas qu'on la touche. Pas un soldat. Pas un mutant... C'est alors qu'elle sentit un picotement au creux de sa nuque et cette douce sensation de liberté. Son implant était désactivé. Sa main se porta automatique à sa nuque. Que se passait-il réellement? Charlie ignora le soldat toujours au sol et pointa le bout de son nez hors de la cellule. Elle fit quelques pas dans le couloir alors que l'homme marmonna à deux autres qu'il fallait lui retirer l'implant. Les deux hommes durent donc plaquer Charlie contre le mur qui se débattaient en criant. Elle sentit une lame glisser sur sa nuque alors que la douleur lui donnait la nausée. Elle sentit des doigts dans la plaie, mais la douleur qui explosa quand elle sentit l'implant être retiré lui fit tourner de l'oeil. Le regard de Charlie devint noir... Mais ses iris émeraude ne changeaient pas de couleur comme à l'accoutumée. Sa poitrine se soulevait rapidement alors que son corps tremblait.
« Ne me touchez pas », murmura-t-elle alors que les hommes tombaient à genoux en hurlant, se tenant la tête entre les mains.
Aussitôt, Charlie ramena ses bras contre elle et partit en courant. Ses jambes tremblaient alors que ses yeux toujours aussi noirs regardaient derrière les vitres de certaines pièces. Elle écarquilla les yeux, refusant finalement de s'y attarder davantage. C'est alors qu'elle fonça dans quelqu'un. Elle tomba sur le dos, sa tête se cognant contre le sol. Elle échappa un gémissement alors que sa mutation se rétractait. Elle se redressa, s'appuyant contre un mur. Elle jeta un oeil à qui lui avait foncé dedans. Matt. Son Matt. Il était là. Charlie lâcha un cri en sautant sur son meilleur ami. Ses bras entourèrent le cou de son ami alors qu'elle le serrait contre elle, ignorant la douleur que cela éveilla dans tout son corps.
« Tu es venu... » Lâcha-t-elle, la voix enrouée par l'émotion.
Elle était contente que ce dernier aie refuser de l'écouter pour une fois. Son coeur battait rapidement sous ses côtes alors que tout son corps tremblait presque de soulagement. Elle enfoui son visage dans son cou, refusant de le lâcher. Elle se sentait enfin en sécurité.
codage de whatsername.
SOS : 294 ÂGE : 25 ans CÉLÉBRITÉ : Francisco Lachowski NATURE : Mutant Organique EMPLOI : Vétérinaire LOCALISATION : Adams Morgan, dans un petit appartement. POUVOIR(S) : Métamorphe - Tyler Waterfield a la capacité de modifier sa structure cellulaire à sa guise pour transformer entièrement son apparence en celui d'un animal. Ils acquis ses diverses transformations en fonction de ses connaissances. En effet, son pouvoir se base sur l'une des facultés cognitives, soit celle de l'apprentissage. Lorsqu'il connait suffisamment un animal, on peut alors dire que cette transformation s'ajoute à son bestiaire personnel. Cependant, il lui est impossible de tenter une transformation avec plus d'un ADN différent au sien. La métamorphose en animal est de loin l'une des plus épuisantes pour le corps et pour le cerveau, puisqu'il nécessite que le corps du métamorphe en question soit assez solide pour activer le pouvoir et puis qu'à la base ce pouvoir se loge majoritairement dans son espace cérébrale.LES EFFETS SECONDAIRES : Tyler Waterfield absorbe les effets secondaires à la suite de sa transformation. Sa tête martelle bruyamment, ses yeux étant bleus lors de la transformation deviennent plus foncés et la fatigue s'installe rapidement. Il pourrait même s'endormir sur le lieu du combat.
Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Lun 11 Jan - 5:02
If I lose myself, I lose it all
I'm out on the edge, and I'm screaming my name like a fool at the top of my lungs. Sometimes, when I close my eyes, I pretend I'm alright, but it's never enough. 'Cause my echo is the only voice coming back, shadow is the only friend that I have.
Une des lumières de la cellule vacillait. Elle vacillait et vacillait sans arrêt empêchant Tyler de s’endormir totalement à cause des bruits qu’elle créait. Il se tourna face la porte toujours allongé sur son lit. Tyler ouvrit les yeux se plaçant sur le dos, incapable de réellement fermer un œil. Ses deux mains rejoignirent l’arrière de sa tête, entre l’oreiller et celle-ci. Tyler pensait et pensait encore. D’ailleurs, qu’aurait-il pu faire d’autre? Le métamorphe pensait à ce qu’il était devenu… Enfin, peut-être qu’il avait toujours été cet arme du mal, mais qu’il n’avait jamais eu l’opportunité d’en avoir la preuve. Toujours dans ses pensées, il se remémora une scène dont il avait été ce monstre. Celui qui faisait le mal. Les crocs dans la chair d’un homme, les griffes de cette bête noire dans la poitrine d’un autre… Cette journée-là, le sang avait coulé. Ça, c’était la première fois qu’il avait face à lui-même, Tyler le monstre. Il ne faut surtout pas oublié qu’il s’était jeté sans honte et compassion sur Anthelme lors de la fête d’Halloween. Il avait volontairement blessé cet homme à l’endroit dont il avait déjà mal. Le pire de tout, il avait blessé Charlie. Bien qu’elle lui ait demandé que ce soit lui qu’il le fasse, elle n’aurait jamais pu lui pardonner totalement. Tyler lui avait laissé un souvenir de son agression en lui cicatrisant une entaille sur l’omoplate. Comment pourrait-elle oublier cela? Charlie, sa copine, n’allait plus pouvoir le regarder dans les yeux sans le moindre sentiment de peur. Lorsqu’il l’avait attaqué, il n’était pas hypnotisé ou sous sérum spécial… Il était Tyler. Le vrai Tyler. À son tour de vaciller, il s’allongea sur le ventre en enfonçant sa tête dans l’oreiller puisque la lumière faisait toujours ses bruits aigus.
La porte s’ouvrit et Tyler n’avait même pas entendu les bruits de pas de l’homme qui rentrait. Il était loin d’être prêt à subir une autre expérience ou torture en cette journée. Le garde de Kanatrix venait d’entrer et il s’approchait de Tyler. Le vétérinaire n’avait pas besoin de se tourner pour le regarder s’approcher, il l’attendait faire des pas dans sa direction grâce aux clefs qui frétillaient dans la poche de l’homme. Tyler faisait toujours semblant de dormir espérant même si c’était perdu d’avance que l’homme le laisse dormir. Les mains froides de ce dernier se posèrent autour des poignets de Tyler pour en défaire les chaines qui les liaient. Inutile de s’attaquer à ce garde puisque derrière ces quatre murs, ils devaient être nombreux. Une fois mains tous deux devenues légères, Tyler se leva prêt à être trainé dans la salle d’expérience. Quelques choses le surpris, enfin, quelques choses le rendaient perplexe. Pourquoi le garde venait de partir avec les chaines sans l’emporter?
Tyler fit quelques pas en s’installant dans le cadrage de la porte. Il observait de chaque côté voyant des hommes inconnus s’occuper des autres prisonniers. Ce n’était pas des travailleurs d’ici. Des sauveteurs?! Voilà ce qui sonna dans la tête à Tyler lorsqu’il vit Roman. Roman semblait agité, même énervé. Sa tête changea de cible lorsque des mains se posèrent sur sa nuque. La personne lui avait averti que ça allait être douloureux un instant. Comme prévu, une lame tranchait délicatement une partie de sa nuque pour pouvoir avoir accès au fameux implant dans sa nuque. La personne se préparait à faire décompte pour lui retirer. Tyler leva sa tête en inspirant profondément n’ayant pas encore remarqué que c’était une opération de sauvetage. Il s’en foutait royalement maintenant. Qui allait-il pouvoir revoir après sa sortie… Ses parents? Il ne sait même pas s’ils sont encore en vie. Sa sœur? Elle a probablement péri avec ses parents. Ses amis? Il ne voudrait jamais les blesser eux-aussi. Marah? Il n’avait plus trop envie de la voir s’ils étaient tous réellement ici à cause d’elle. Charlie? Elle avait peur de lui et elle aurait peur de lui encore pour longtemps. Tyler l’avait lu dans ses yeux, même si elle faisait tout pour cacher. Elle avait raison, puisque même Tyler, le monstre, avait peur de lui-même. C’est en levant sa tête qu’il apercevait la magnifique chevelure rousse de sa copine partir dans la direction de la sortie.
« Charlie…», essayait-il de dire à voix basse même si elle ne l’avait pas entendu et attendu.
« Aie! », lâchait-il de douleur avant de trembler.
L’implant se retirait et le corps du métamorphe tremblait au fur et à mesure qu’il se décrochait de sa nuque. Rapidement, ses yeux prirent une couleur blanche. La personne qui s’occupait de lui sursauta à la vue des yeux de Tyler. Il venait tout juste de lui retirer le gadget et Tyler resta sur place sans bouger. Son corps prit une dizaine de seconde avant de se remettre en marche et de prendre sa nouvelle couleur de yeux d’un brun pâle. Le métamorphe remercia le groupe avant de courir dans les couloirs vers la sortie. On lui avait indiqué la sortie à deux trois reprises avant de croiser du regard Alexis.
Tyler se colla au mur, espérant avoir passé inaperçu. Pourtant elle venait dans sa direction un peu trop vite au goût de Tyler. Le métamorphe s’arrêta pour laisser la chance à Ray de s’approcher. Il n’allait même pas l’écouter, il voulait entrer chez lui seul. La blonde prit place devant lui semblant heureuse de le voir en vie. Tyler ne lui rendit pas sa joie étant déconcerté des évènements.
« Je n’ai pas besoin de ton aide pour rentrer Alexis. Je sais très bien par où je dois sortir. Merci quand même. Je suis capable de me débrouiller seul. Et ça, c’est mieux pour toi, et pour vous tous. », finissait Tyler en regardant Charlie qui venait de tomber sur Matt.
« Au revoir, Alexis. », finit le métamorphe sous un ton monotone.
Tyler quitta rapidement la conversation qu’il avait avec Alexis pour se diriger vers la sortie. Pour cela, il devait passer tout près de Charlie et Matt. Il passa donc un peu plus loin derrière l’humain. Tyler en avait profité pour regarder du coin de l’œil sa petite amie, s’ils étaient du moins toujours ensemble, mais il avait défilé assez rapidement pour n’avoir aucune autre conversation avec qui que ce soit.
Tyler posa ses deux pieds à l’extérieur. Il avait froid et sa voiture était loin de lui être rapidement accessible. Il n’avait ni cellulaire, ni portefeuilles. Il finit par se résigner à suivre le groupe en direction d’un camion.
Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Mer 13 Jan - 11:08
Blacklisted & Assassins × ft. Equipe 1
Sa mâchoire était paralysée par la crispation. Il y avait tellement d'émotions fortes ici et maintenant qui se mêlaient aux souvenirs. Tellement de souffrances qui parfois s'évanouissaient dans le vide sans fin de la mort. Son armure craquelait, elle le sentait et pour tenir encore sa main libre remis son oreillette à sa place. Elle tenta de se réfugier dans la musique alors que la première cellule s'ouvrait grâce à son compagnon qui changeait d'apparence.
Face à la vision qui se tenait à l'intérieur, la jeune femme trouva la force de s'apaiser et insuffla délicatement cette inspiration à celui qu'elle aidait à sortir de cette pièce. Elle réitéra l'opération trois fois: entrer dans la cellule, aider à défaire les liens et sortir le malheureux de la pièce avant de le confier aux bons soins de ses compagnons d'action. Enfin aux bons soins... Certains manquaient clairement de délicatesse et quelques situations dégénérèrent. Lorsque la quatrième porte s'ouvrit, ses mains tremblaient et doutaient de réussir à tenir un nouveau choc mais alors que la cellule se dévoilait à ses yeux, le choc attendu n'arriva pas.
La pièce était vide... Ce n'était pas possible... Bien sûr leurs informations pouvaient être fausses mais c'était impossible... Elle sentait la présence d'une autre âme en peine, elle reconnaissait la signature des trois premiers et il en demeurait une, qui était d'ailleurs presque familière.
▬ ❝ Marah, Elle est où, Marah ? ❞
Anaïs fit volte face et posa son regard sur cette détresse qui enflait devant elle. Avec ce tourbillon d'émotions, il était hors de question qu'elle laisse ce jeune homme s'inquiéter de la sorte alors qu'elle avait sans doute la réponse. ▬ ❝ Je crois que je sais. ❞ Un regard, un signe et certains se détachèrent du convoi qui sortait. La jeune femme se fit violence et laissa son armure se fendre pour suivre le chemin qui pouvait les guider jusqu'à la dernière âme. Au moins dans cet état elle avait aussi pleinement conscience que le laboratoire semblait bel et bien être entre leurs mains à cet instant, cela ne durerait pas mais c'était assez étrange de constater que là c'était le cas.
Mais plus ils s'approchaient moins elle trouvait son choix judicieux, et à quelques mètres de leur objectif elle comprenait comment elle avait pu ressentir la présence de la demoiselle d'aussi loin. Anaïs s'arrêta là et pointa la porte vers laquelle ses compagnons se précipitèrent. Elle n'était pas certaine de pouvoir voir celle qui était enfermée là et la simple perspective de devoir retrouver le fourgon avec tout ce monde... Elle n'arriverait probablement pas à tenir, non pas qu'elle ait sous-estimé sa force, c'était plutôt le calvaire de ces esprits et de la mort qu'elle avait mal estimé... Enfin elle s'en sortirait n'est-ce pas ? Elle serait juste malade quelque temps...
Anaïs fit donc demi-tour, sa mission était finie, elle devait sortir de là. Son pas avait perdu en rapidité mais elle n'avait pas encore perdu son sens de l'orientation. C'était probablement une erreur de revenir seule mais elle n'y pensa même pas et puis elle ne tarda pas à se retrouver plonger dans l'agitation que semaient ses collègues, elle ne fut pas seule bien longtemps. La jeune femme chaussa son deuxième écouteur, ce n'était plus le temps de la prudence, elle devait juste ne pas totalement flancher et pour cela la diversion de la musique était salutaire.
Le mouvement général était au départ et elle le suivit donc, à son rythme. Rythme qui sembla ne pas satisfaire un de ses compagnons qui décida de l’entraîner dans sa suite. Anaïs ne protesta guère et laissa toute son attention se tourner vers le son qui s'échappait de son casque. L'air extérieur lui fit aussi du bien et elle reprit un peu conscience de ce qui l'entourait avant de devoir grimper à bord du fourgon dans lequel elle se blottit avant de fermer les yeux et de mettre ses mains sur ses oreilles pour se protéger des âmes en souffrances qui n'étaient que trop proches.
Ils semblaient avoir réussi, c'était une victoire, mais cela Anaïs le fêterait plus tard, lorsque sa conscience lui reviendrait.
SOS : 3029 ÂGE : vingt-cinq ans CÉLÉBRITÉ : Elizabeth Olsen NATURE : Pass-mental/psionique EMPLOI : étudiante, fugitive de Kanatrix Corporation LOCALISATION : Washington D.C avec Roman POUVOIR(S) : Nouvelle mutation : EN COURS
Marah possède le pouvoir d'altérer la perception visuelle (manipulation mentale) en exerçant un contrôle mental sur une/des personnes visées.
Elle peut entrer également une fois dans la tête de la personne :
- modifier leurs émotions : les amplifier comme les « calmés » le contact physique l'aide, mais n'est pas nécessaire.
- Elle peut se "connecter" à la personne, ne faire plus qu'un et lui faire ressentir ce qu'elle ressent, jouer avec les émotions. ( Une bulle protectrice d'une couleur rouge écarlate entourent généralement les deux individus.
- avoir accès aux souvenirs, aux peurs, aux émotions
- avoir accès aux intentions du moment.LES EFFETS SECONDAIRES : Elle a malheureusement des effets secondaires assez violent lorsque son champs d'action se voit augmenté. En effet lorsqu'elle use de son pouvoir à un haut degrés la jeune femme se voit affublé de crise apparenté à de l'épilepsie, avec des tremblements violents. ou encore se projette elle-même dans une "illusion" qu'elle crée ( en général ce n'est pas très agréable - elle projette souvent ses plus grande peurs). Seul, des médocs peuvent la calmé. Mais ce n'est pas toujours aussi simple. Son organisme à de plus en plus de mal à gérer les crises, et elle aussi.
- Récemment elle s'est vu avoir des saignements de nez.
À peine s’étaient ils avouer leurs sentiments qu’ils avaient était emmené de force à Kanatrix. Séparer pendant un nombre incalculable de semaines sans pouvoir se toucher, s’effleurer où ne serait que ce parler. Elle avait été témoins des tortures qu’il avait subies en le croisant parfois entre deux « séances », mais elle n’avait pas eu la force de lui dire quoi que ce soit. Tant le moindre effort, relevé du miracle.
FLASHBACK Ce jour-là, ils étaient venue la chercher dans sa cellule en pleine nuit. Elle avait était trainé de force par les gardes puis emmenés dans cette salle lugubre. Salle, dont le souvenir vint la frapper lorsqu’elle avait mit un pied à l’intérieur. Cela devait être le deuxième jour de captivité durant lequel Néron s'était acharnée sur la jeune femme pour lui arracher des informations. Au début, la jeune femme avait cru à un nouvel interrogatoire avec le militaire à propos de cette clé USB, puisqu'il avait lamentablement échoué, il se devait de prendre sa revanche sur Marah. Elle s'était donc préparé à subir un nouvel interrogatoire forcé dirigé par Néron en personne. Mais cette fois, elle n’avait pas envie de luttait. Fatigué, effrayé, sous-alimenté peut-être ? La jeune femme se sentait au bord du gouffre. Elle ne parlait plus, ou très rarement. La fatigue prenant peu à peu possession d'elle et de son corps devenue frêle. Elle avait perdu pas moins de dix kilos et elle se trouvait dans un piteuse état. Elle n'essayait même plus de répondre aux incessantes questions. Alors pour oublier un peu sa souffrance, elle tentait de penser à son frère, ses amis… Anthelme. Elle s’inquiétait pour eux, pour leurs avenirs. Si seulement elle y était resté la première fois, elle ne les auraient probablement pas mis dans ce pétrin. Mais le mal était fait, ils allaient tous y passer un par un. Elle le sentait et c'était probablement de sa faute.
Malheureusement pour la jeune femme, ce n'était pas Néron qu'elle allait devoir supporter mais une tout autre personne. La porte s’était ouverte laissant Lucrétia Adler entrée. Elle était resté là planter dans l'encadrement de la porte observant d'un regard malsain Marah pendant plusieurs minutes lorsque finalement, la trentenaire s'était décalé laissant apparaître Anthelme attaché, des menottes aux poignets suivit de près par des gardes armés. Sous le choc, son coeur se mit à s'emballer et les larmes lui monter aux yeux alors qu'elle comprit rapidement de quoi il en retournait. Lucrétia allez se servir d’Anthelme pour la mettre au pied du mur, la brisée et elle, elle allait devoir faire comme si de rien était, comme si elle n’avait jamais eu de sentiment pour lui.
La jeune femme avait pris une grande inspiration, essayant mettre de côté cette peur de se faire démasquer, de le perdre, lui. Mais au fur et à mesure de l’interrogatoire, les choses se compliquèrent. La blonde avait commencé par mettre devant eux des photos prises le soir d’Halloween où ils étaient en train de s’embrasser tout en continuant de dévoiler, les autres photos, les unes après les autres faisant ainsi monter la pression. Tout en menaçant d'une potentielle mort ses proches : Cami, Roman, Peggy, Jordan et… elle avait fini par lui montré la dernière photo. Tony le copain de sa meilleure amie. Il était mort. Le teint livide, mort d'une balle dans la tête voyait le trou qu'il arborait sur son front. C’est sans soute à ce moment-là qu’elle n’avait pu retenir ses larmes, bouleversé de voir un de ses proches rayer de la carte comme ça. Sans parler de sa meilleure amie... était-elle toujours en vie ?
Mais elle ne compter pas s’arrêtait là, puisque Lucretia avait eu la riche idée de s’attaquer à Anthelme, connaissant parfaitement le fonctionnement du pouvoir de Marah ainsi que ses faiblesses. Elle se mit à en jouer. Elle avait désactivé partiellement l’implant de la brune. La submergeant ainsi de toutes les émotions d'Anthelme : la peur, la douleur, la peine, impuissance, l’amour, la haine, lui coupèrent le souffle mais la jeune femme était forte, elle devait tenir, elle le savait. Alors elle avait fermer les yeux l'espace d'un instant, se retenant d'hurler et de fondre en larme. Elle avait repris contenance, regardant Lucrétia droit dans les yeux, essayant de rester impassible à la souffrance qu’il ressentait.
Lucrétia, avait rapidement perdu patience et avait fini par découvrir comment Marah résister, elle s’était emparé d’une de ses mains et avait découvert des marques d’ongles dans la peau de la jeune femme. « voyez-vous ça, tu es beaucoup plus intelligente que je ne le pensais. C’est comme ça que tu résistes au lien qu’il y a entre toi et ce garçon ? Par la douleur ? Tu te concentre sur ta propre douleur... fascinant. Mais nous avons d'autre moyen de te faire parlé Marah...Et si on augmentait les enchères ? La vie d'Anthelme, contre la clé USB...»« Quoi ? » Les battements de son coeur s'affolèrent, sa respiration se fit plus saccader. Les larmes se mirent à couler ravageant son visage déjà bien abimé par les coups qu'elle avait pu recevoir tout au long de sa séquestration. « Non non non, pas ça arrêter... je vous en supplie (....) ARRETER VOUS ALLEZ LE TUER !»La panique s'était emparé de Marah, qui s'était mis à se débattre, menaçant à son tour la blonde. Rapidement démasquer, Lucretia s’était empressé de faire venir du renfort. Klaminksi la tenait fermement pour qu’elle ne puisse continuer à ce mutilé et à résister au lien. C’était là, qu’elle avait fini par hurler sous la douleur, captant les émotions d’Anthelme avec une force jamais égalée, elle ne faisait qu’un avec lui, ne pouvant s’empêcher d’entrée dans sa tête. Signe que leur lien était bien plus fort que de l’amitié ou une simple connaissance.
Puis finalement tout s'était arrêté lorsque Lucretia avait fini par achever Anthelme - du moins Marah le pensée réellement- , lui injectant un produit d'origine inconnue . Le tuant à petit feu, devant ses yeux. La douleur qu’elle avait ressentie à cet instant, avait été immense, indescriptible. Hurlant, se débattant, pleurant à chaudes larmes. Son coeur était en morceaux. En voyant, peu à peu les yeux d’Anthelme se vider de cette flamme dont elle était tombé sous le charme. Le lien qui les unissait faiblissait à vue d’oeil, pour finir par s’éteindre doucement alors, elle avait réussi à ce détaché à force de bouger sur sa chaise. Quelque chose s’était brisé en elle. Le lien, ce lien naturellement renforcé lorsqu’elle était proche d’une personne. Elle avait fini par prendre le visage d'Anthe entre ses mains, le suppliant de se réveiller, lui dire qu’elle l’aimait et qu’il ne pouvait pas l’abandonner comme ça, qu’ils avaient tant de chose à vivre encore ensemble. Ils n’étaient qu’au début de leur relation. Mais sans succès. C'était trop tard.
Comme un poignard qui s’enfonce doucement dans son coeur, et qu’on tourne encore et encore lentement jusqu’à se sentir complètement vide de l’intérieur, fatigué. La voix qui déraille pour s'éteindre complètement, incapable de parlé, les larmes qui coulent sans pouvoir s’arrêter. Eux. Lucretia et les gardes l’avaient empoigné violemment, mis un sac sur la tête et l’avaient isolé des autres, en lui faisant croire à la mort d’Anthelme et que tout était de sa faute à elle. Ce qui avait fini par la briser. FIN DU FLASHBACK
Les jours qui suivirent Marah se déconnecta doucement de la réalité, perdant ainsi l’usage de la parole, alors que Lucretia et Klaminski s’acharnaient sur elle à tour de rôle. L'un s'attaquant à l'esprit alors que l'autre s'attaquer au physique, l'humiliant de toutes les façons possible et inimaginable afin qu'elle finisse par craquer. Petit à petit ses cauchemars prirent vie sous ses yeux et à force d'hurler, de supplier, elle avait finit par se briser en mille morceaux. Attaché au plafond par des chaines, dans la pénombre d’une pièce surchauffée en sous-vêtement, ses pieds touchant à peine le sol, les menottes lui rentrant peu à peu dans la chaire. Elle aurait pu devenir folle tant la souffrance et l'humiliation était immense, mais elle s’était enfermé dans une bulle, coupé du monde devenant presque catatonique. Pour l’heure, les journées s’enchainer et elle commençait doucement à se faire à l’idée que s’en était fini pour elle, elle le savait désormais puisque une nouvelle fois, comme tous les jours depuis une semaine la porte s'ouvrit dans un grincement inquiétant. Les yeux bandé, inquiète, un faible gémissement - à peine audible- sorti d'entre ses lèvres alors que son corps tout entier tremblé de peur que Wesley Klaminski revienne à la charge...
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love.disaster
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Sujet: Re: intrigue #final /sujet commun équipe 1 et 2 Dim 17 Jan - 11:51
Avant que la panique n'ait fini de le subjuguer, une parole prononcée par une voix féminine parvint à atteindre les oreilles de Roman. Charlie. Roman n'avait pas envie de la regarder plus longtemps que nécessaire, par peur de constater les effets que la torture avait eu sur elle. Il devait se préparer à éprouver un choc certain lorsqu'il retrouverait sa sœur adorée et évitait autant qu'il le pouvait d'angoisser inutilement en imaginant ce qui avait pu lui arriver. Au moins la réponse que lui avait fourni Charlie n'était pas « Marah est morte ». Cela signifiait-il pour autant que Marah était dans une bonne situation ? On ne pouvait guère l'envisager. Si elle se trouvait avec Lucretia, elle était peut-être en train de se faire torturer en ce moment-même. Ceux qui pensaient que les jumeaux avaient un lien télépathique permettant de savoir ce genre de choses se trompaient lourdement : Roman était dans un flou total. Il ne ressentait rien lorsqu'il s'interrogeait sur le sort de sa sœur, rien, si ce n'est un vide angoissant. Les nouvelles n'étaient pas du tout bonnes. Même en laissant de côté le fait que Lucretia faisait partie des personnes avec qui Roman n'avait pas envie de voir Marah, il ne savait tout simplement où il allait la trouver. Sa mémoire n'était pas excellente au point de lui permettre de retenir l'intégralité du plan de Kanatrix, il était déjà satisfait d'avoir pu retenir les lieux les plus importants. Même s'il avait su qu'elle se trouvait dans son bureau, ou dans une salle de torture, Roman n'était pas certain de pouvoir les retrouver facilement : à l'époque de sa détention, il n'était pas assez détendu pour se rappeler ce genre de détail. Il se souvenait très bien de la sensation que lui procurait le parcours, en revanche, mais ce n'était pas cela qui allait lui permettre de retrouver sa sœur. Roman n'envisageait pas d'autre solution que de chercher, à l'aide de sa vitesse surhumaine, et de fouiller tout le bâtiment. C'était ce que son cœur lui dictait de faire. Son cerveau, quant à lui mis en sourdine, lui avançait tous les inconvénients que représentait ce plan - les portes qui n'étaient pas déverrouillés, les gardes et autres personnes indésirables qu'il rencontrerait sur son chemin, et bien sûr, la difficulté à rejoindre le point de rassemblement. Il était plus que probable qu'il resterait enfermé lorsque Kanatrix refermerait définitivement les portes pour contrer l'évasion. Cette perspective ne l'enchantait guère. Heureusement pour lui, au moment où Roman se disait qu'il ne lui restait plus qu'à interroger d'autres personnes, Anaïs lui annonça qu'elle savait où se trouvait celle qu'il cherchait. Comment elle pouvait le savoir, alors qu'elle faisait partie de la même équipe que lui, ne faisait pas partie des priorités de Roman. Il fit signe à la jeune rousse qu'il la suivait. L'intervention de cette dernière avait temporairement calmé l'inquiétude de Roman. Il allait pouvoir retrouver Marah, même s'il ignorait encore dans quel état. Anaïs l'abandonna à quelques mètres de la porte, ce que Roman interpréta comme une façon de les laisser en tête à tête pour leurs retrouvailles. Comme s'il allait envisager que la jeune femme était trop touchée par ce qu'elle sentait derrière la porte ! Roman ne résista pas : il parcourut les derniers mètres à l'aide de son pouvoir, qui grondait toujours sous la surface. Sa main trembla lorsqu'il poussa la porte pour découvrir sa sœur. L'indignation, l'horreur et la douleur se heurtèrent l'une à l'autre tandis que Roman découvrait l'état pitoyable dans lequel se trouvait Marah. Il retrouvait la jeune fille brisée qu'il avait connue à l'époque où ils étaient enfermés, mais c'était pire, bien pire. Elle avait certes passé moins de temps entre les mains de ses tortionnaires, mais elle était irrémédiablement touchée. Abîmée, même. Roman osait à peine la toucher, encore moins parler, choqué de voir un manque de réaction chez sa sœur. Le sourire qu'elle lui adressait ordinairement était absent. Si elle était heureuse de le revoir - et elle l'était, Roman en était sûr -, elle n'avait pas la force de lui montrer, ou elle pensait peut-être qu'il était une hallucination, pour ce qu'il en savait. Roman se demanda alors quel intérêt pouvait avoir Kanatrix à torturer ainsi des êtres humains. Il s'était déjà interrogé sur leurs motivations des millions de fois, mais à présent qu'il retrouvait sa sœur, il trouvait cela plus absurde que jamais. Les bourreaux devaient éprouver une sorte de plaisir sadique dont ils avaient du mal à se passer, mais qu'est-ce qui avait pu un jour les pousser à commettre l'impardonnable ? Vraiment, Roman ne pouvait pas comprendre. Afin d'éviter de penser que cette fois-ci, il allait voir de l'extérieur les dégâts causés par Kanatrix sur des innocents, Roman se saisit de Marah, d'un geste où se mêlait une étreinte fraternelle. Il aurait voulu la serrer contre son cœur, mais cette posture n'aurait pas été pratique pour se déplacer. Il murmura à l'oreille de Marah :
« Je suis là, tout va bien. »
Puis il fit appel à son pouvoir pour sortir Marah de là. Direction la sortie, où les attendait l'équipe de sauvetage et les autres prisonniers. Peut-être quelqu'un aurait-il des mots réconfortants pour eux. Peut-être quelqu'un aurait des conseils à fournir à Roman. Car c'était la première fois que Roman aurait à s'occuper d'une personne brisée sans avoir été brisé lui-même.
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