SOS : 149 ÂGE : 16 ans CÉLÉBRITÉ : Logan Lerman NATURE : Humain EMPLOI : Lycéen
CARNET RÉPERTOIRE DE CONTACTS & LIENS: DISPONIBILITÉ RP: Maxime Erisson
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Sujet: Lycée Saint-James - pv Niklaus Ven 8 Jan - 18:12
Ils avaient tout paramétrer dans les moindres détails : le sens du vent, l'humidité ambiante et même la vitesse du réseau dans la salle d'histoire. Quand Erisson préparait un mauvais coup avec sa bande, ils le faisaient dans les règles de l'art : du moment que c'était bien lourd, bien bête et totalement saugrenu, ils sautaient tous dedans à pieds joints, ravis de se distraire. D'autant que la période d'examens arrivaient, et aucun d'entre eux n'avait envie de réviser ! Ils mettaient davantage de coeur à l'ouvrage en s'enquérant de l'emploi du temps de M. Trahart, le professeur d'histoire, et en l'espionnant depuis quelques jours, qu'à ouvrir ledit livre d'histoire qui prenait tranquillement la poussière sur leurs étagères ou leurs bureaux. Maxime était sans aucun doute le plus feignant de tous ! D'une part, il pouvait se le permettre car il connaissait déjà par coeur le cours d'histoire, l'ayant enregistré mentalement au fur et à mesure du cours en lui-même, et d'autre part parce qu'il était à nouveau seul depuis deux jours chez lui, son père étant reparti dans une quelconque de ses missions censées être 'top-secrète' et n'était toujours pas rentré. Dieu merci, il lui avait laissé suffisamment d'argent cette fois-ci pour qu'il n'ait pas à se contenté de boîtes de soupe préparées, mais son absence lui tordait toujours autant le coeur, et il préférait dévoyer son attention sur une mauvaise blague que de continuer à ruminer dans son coin.
" Tu lui as bien dit qu'il venait par ici quand tu l'as croisé hein ?"
Mathis hocha la tête, riant à l'avance de ce qu'ils préparaient.
"A tous les coups il a dû filer un rendez-vous à un étudiant. Il fait souvent ça le midi pour ceux qui sont à la ramasse dans son cours." " T'es sûr que c'est pas toi qu'il voulait voir ?" demanda Maxime en ricanant.
Il récolta un coup de coude sur le côté et d'autres rires de la part de ses compagnons d'aventure. La petite troupe dissimulée dans l'angle du couloir, ils attendaient patiemment leur proie... Et quand ils entendirent le bruit de pas dans le couloir, ils se précipitèrent en arrière pour ne pas être vus. Maxime plaqua son index sur sa bouche pour intimer l'ordre de se taire à sa petite bande de preux chevaliers, et tous ensemble ils attendirent que le professeur aille pousser la porte de sa salle de cours... Même s'ils n'avaient pas vu qui s'avançait dans le couloir et qu'ils se basaient sur des déductions saugrenues.
Toujours est-il que la porte de la salle d'histoire s'ouvrit, et que la personne qui s'engouffra dedans eut l'agréable surprise de recevoir un seau d'eau glacée sur la tête, accompagnée même de quelques glaçons à demi-fondus. " Douché le Trahart !!" s'exclama tout bas Maxime, retenant difficilement son rire alors que tous ses amis étaient déjà pliés en deux à l'idée de la tête que l'austère professeur d'histoire devait tirer en cet instant même.
Quel idiot il faisait, les examens arrivaient à grands pas, et, bien que le jeune homme n'ai aucune envie de réviser, il ne tenait pas à échouer. Il ne lui restait plus que l'histoire à maîtriser et il aurait terminé ses révisions pour la semaine. Seulement, il avait réussi à oublier son livre dans la salle de classe. Il était pourtant sûr de l'avoir rangé. Il poussa un long soupir alors qu'il traversait le couloir pour gagner la dite salle de cours. Et bien sûr, il se trouvait à l'autre bout du lycée. Enfin, au moins, les couloirs étaient vides, lui facilitant l'accès jusqu'à la salle d'histoire.
Il ne tarda pas à arriver devant la porte de la classe, il espérait que son professeur n'avait pas eu la bonne idée de verrouiller la salle. Il jeta un rapide coup d'oeil dans le couloir, s'assurant qu’aucuns professeurs ne passe pendant qu'il rentre dans la salle. Au final, il haussa les épaules avant de baisser la poignée pour entrer.
Peut-être aurait il dut attendre que M.Trahart, le prof' d'histoire passe afin de lui demander s'il pouvait récupérer son cour. Quoiqu'il serait surement passé pour l'idiot qui avait fait ce "piège". En effet, à peine eut il ouvert la porte qu’il reçut un sceau d’eau glacé sur la tête. Niklaus sursauta violement, se prenant la porte lorsqu’il fit un bond. Il essaya de se débarrasser du mieux qu’il put des glaçons qu’à demi fondu. Il écumait de rage, les fautifs ne devaient pas être bien loin. Ils s’attendaient à ce que ce soit leur professeur d’histoire qui se prenne l’eau sur la figure, ils avaient surement voulu rester près afin de voir ça.
Le jeune homme sorti de la salle, trempé, laissant la porte ouverte, il comptait bien retrouver les crétins qui avaient fait ça afin de leur faire passer l’envie de recommencer. Il essaya de tendre l’oreille afin d’entendre des bruits de course pouvant signifier une tentative de fuite, mais rien de lui parvint. Il s’avança dans le couloir, ils ne pouvaient pas être du côté d’où venait Klaus, ils devaient donc se trouver prêt de l’angle. Le jeune garçon s’avança donc dans ce sens avant de crier :
« Je sais que vous êtes là, vous feriez mieux de vous montrer espèces de crétins ! »
HRP : C'est pas top déso' j'suis pas encore très à l'aise avec le RPG Humain ^^' j'espère que ca t'ira quand même.
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Sujet: Re: Lycée Saint-James - pv Niklaus Mar 12 Jan - 11:53
« Je sais que vous êtes là, vous feriez mieux de vous montrer espèces de crétins ! »
Le petit groupe se figea, éberlué. Ce n’était décidément pas la voix de Trahart… Mais alors, pas du tout ! Maxime se dérida instantanément : ils avaient raté leur coup et visiblement, la personne qui avait écopé du seau d’eau glacée sur la tête n’était pas heureuse à la perspective de devoir faire le sens inverse trempé de la tête aux pieds. Non seulement Trahart s’en sortait sans souci, mais en plus ils venaient de se faire un ennemi. Se tournant vers son petit groupe de dévoués fidèles, il haussa les sourcils d’un air de dire « et maintenant, on fait quoi ? »
Parce que l’autre allait leur mettre la main dessus à un moment ou à un autre, il ne fallait pas rêver : le lycée était loin d’être un labyrinthe et il ne fallait pas sortir de Harvard pour se douter que le groupe d’affreux jojos qui avaient tendu ce piège stupide était planqué dans un angle quelconque du couloir, profitant du spectacle. Un de ses amis haussa les épaules pendant qu’un autre lui faisait signe de se barrer, le tout dans un silence presque irréprochable et uniquement perturbé par le fou rire nerveux du gringalet du groupe qui n’arrivait pas à se calmer. S’en suivit un dialogue de mains, de sourcils et d’exclamations muettes entre les garçons de la bande, totalement intraduisible pour quelqu’un d’extérieur mais qui finit par déboucher sur une conclusion évidente, du moins pour Maxime : à eux tous, ils avaient plus de chance de calmer la colère de la victime de leur farce et de calmer surtout ses envies de vengeance.
Un dernier hochement de tête, qui fut suivi par tous ceux de la bande, et Maxime se redressa, carra les épaules et s’avança dans le couloir, se mettant à découvert. Persuadé que les autres allaient suivre derrière lui pour créer cet effet de masse destiné à calmer les ardeurs de l’étudiant malmené. Sauf que visiblement, ils n’avaient pas tous compris le même message, et dès que Maxime s’avança, le reste de la bande se défila au grand complet, prenant la poudre d’escampette au grand galop, abandonnant leur leader seul face au jeune homme vert de rage.
Maxime resta debout dans le couloir, le sourire sur son visage se crispant alors qu’il comprenait qu’il était désormais seul, n’osant pas se retourner pour voir la débandade de ses amis… enfin, de ces sales-traîtres-qui-allaient-morfler-dès-qu’ils-les-retrouverait. Il leva aussitôt les mains paume en avant dans un signe apaisant.
« Franchement on… enfin je suis désolé, ce n’était pas toi qui était visé. C’est… c’est con quoi mais… ça vaut pas le coup de s’énerver hein ? »
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Sujet: Re: Lycée Saint-James - pv Niklaus Mer 27 Jan - 14:04
NIKLAUS
MAXIME
Lycée Saint-James.
Niklaus resta immobile quelques instants, n'ayant aucune envie de devoir courir après les gamins qui avait eu la si bonne idée de faire cette farce débile, et il avait encore moins envie de devoir les coursés en étant trempé comme il l'était. Il serra les dents, espérant que les auteurs de cette bêtises allaient se montrer bien gentiment. Bon, certes il, aurait été à leurs places il aurait déjà déguerpis, mais il ne espérait qu'ils auront le courage de se montrer. Et puis, il avait aucune envie de penser à ce que lui aurait fait. Jusqu'à la preuve du contraire, c'était lui qui avait fini avec un seau d'eau glacé sur la tête, pas eux.
N'y tenant plus, en ayant marre d'attendre que quelqu'un se dénonce, il marcha droit en direction de l'angle du couloir. Un jeune garçon sorti enfin du coin, il se retrouva seul face au jeune homme, les poings serré à cause de la colère. Des bruits de course parvinrent aux oreilles de Klaus, apparemment, le reste du groupe avait préféré détaller. Le plus jeune se tenait donc là, seul, le sourire crispé. Il leva les mains pour les mettre devant lui, paume en avant, comme s'il voulait apaisé le lycéen en face de lui.
« Franchement on… enfin je suis désolé, ce n’était pas toi qui était visé. C’est… c’est con quoi mais… ça vaut pas le coup de s’énerver hein ? »
Un rictus se dessina sur les lèvres de Klaus, c'était con, ouai, c'est sûr. Lui c'était pris un seau d'eau, l'autre allait surement se prendre des coups. Après réflexion, il était vrai que ça ne valait pas vraiment le coup de s'énerver. Mais le jeune homme n'avait aucune envie de se calmer. Il serra d'avantage les poings, s'approchant du garçon devant lui.
« Ouai, tu l'as dis, c'est con. Pour toi aussi, elle est sympa avec toi ta bande. Bas, au moins tu seras le seul que j'abîmerai. »
Niklaus leva un bras, faisant mine de se gratter la tête, faisant semblant de réfléchir :
« Hmm, j'vois pas trop ce qui m'empêcherait de t'en coller une, j'vais pas t'mentir, j'ai vraiment envie de le faire. »
Il laissa retomber son bras, un nouveau masque, de colère peint sur le visage. Il avait une folle envie de laisser ses nerfs se passer sur le membre de la bande qui avait créer le piège dans lequel il était tombé. Il espérait néanmoins qu'aucun de ses copains ne rappliqueraient. Taper une personne c'est une chose, surtout si cette personne en question est plus jeune, se retrouver avec une bande de garçon voulant protéger leur camarade, s'en est une autre. En fait, le fait que le reste du groupe se soit enfuit à toute jambe arrangeait bien le lycéen.
HRP : Désolé pour le retard ^^ J'espère que ça ira sinon ^^ (Mon code à totalement planter °° donc baas, je sais pas pourquoi, après avoir passé plus d'une heure à essayer de comprendre pourquoi et de le réparer, j'ai pas réussis donc bon, pas grave XD)
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Sujet: Re: Lycée Saint-James - pv Niklaus Mer 27 Jan - 17:45
Faire confiance à sa bande d’amis avait été une très mauvaise idée. La pire de toute sans doute, parce qu’il fallait se rendre à l’évidence : il ne s’agissait que d’une bande de trouillards avérés qui avaient préféré se sauver en courant en le laissant dans la mouise face à l’adolescent furieux de leur blague de mauvais goût, plutôt que d’affronter avec lui la colère de leur victime malencontreuse. En groupe, ils auraient été plus forts et l’autre n’aurait jamais rien tenté, mais autant parler à un mur : leur peur avait parlé avant même leur cerveau, et résultat, Maxime se retrouvait seul à un adolescent qu’il avait déjà aperçu dans la cour et croisé dans les couloirs mais dont il ne connaissait même pas le nom, et qui semblait relativement furieux après avoir reçu une douche glacée. Pas tip top comme situation, et comme toujours, conscient que désormais, il ne pourrait compter que sur ses mots et son esprit, étant donné que muscles et forces lui faisaient défaut depuis qu’il était né, il tenta un sourire penaud devant l’adolescent. Tout cela ne valait pas vraiment le coup qu’il s’énerve, n’est-ce pas ? Il n’était pas le dernier à faire une blague de ce genre, et il y avait fort à parier que l’autre non plus, alors il pouvait bien passer l’éponge pour cette fois… Juste pour cette fois…
« Ouai, tu l'as dis, c'est con. Pour toi aussi, elle est sympa avec toi ta bande. Bas, au moins tu seras le seul que j'abîmerai. »
Le sourire de Maxime disparut aussitôt et il déglutit, comprenant qu’il allait prendre cher. Et l’autre avait l’air terriblement sérieux en plus ! Et ce terme… Abîmer… Ouais, non, il n’aimait pas cela du tout !! De une parce qu’il faisait un punching-ball plus que facile à frapper, et de deux parce qu’il savait qu’il n’avait aucune chance face à lui : ses biceps étaient constitués de fromage fondu et il avait la force d’un gamin de cinq ans ! Son père avait déjà tenté de le rassurer en lui disant qu’il se renforcerait en grandissant, que tout cela n’était qu’une question d’hormones et de croissance, mais force était de constater que pour l’instant Dame Nature prenait bien son temps pour faire de Maxime un homme. Par contre, elle semblait avoir pris des cours d’avance avec celui qui se tenait devant lui et s’approchait dangereusement, prêt à en découdre.
« Hmm, j'vois pas trop ce qui m'empêcherait de t'en coller une, j'vais pas t'mentir, j'ai vraiment envie de le faire. »
Maxime écarquilla les yeux, pâlissant à vue d’œil alors que tout son maigre courage fondait comme neige au soleil. Oh bon sang, ce n’était clairement pas bon signe ça ! Il secoua les mains devant lui, reculant de quelques pas instinctivement :
« Mauvaise idée mec ! Déjà parce que le prof d’histoire va rappliquer d’une minute à l’autre et qu’il ne va pas apprécier le spectacle, et aussi parce que je n’en vaux pas le coup. Tu vas frapper une fois et j’vais m’écrouler au sol comme une larve, franchement, c’est pas très valorisant hein… J’suis archi-nul comme punching-ball, j’te jure ! »
Il maudissait ses soit-disant amis en cet instant même, qui l’avaient planté là pour le laisser affronter seul la tempête qui se préparait. Cette bande de lâches ne perdait rien pour attendre…
Quant à lui, et bien… Il n’avait pas le choix s’il voulait sauver sa maigre carcasse : après un dernier coup d’œil au type devant lui, il fit aussitôt demi-tour et prit la poudre d’escampette, démarrant au quart de tour pour tenter d’atteindre les escaliers à quelques mètres de là. Pas le choix, il allait devoir se dégotter une classe vide et s’y enfermer, le temps que le mec se calme, et à défaut d’avoir des muscles, il avait de bonnes jambes. Quand on ne savait pas taper, on savait courir, principe de survie élémentaire, surtout au lycée ! Alors dérapant à moitié sur le sol, comptant sur l’effet de surprise, il s’enfuit en courant en s’enfonçant un peu plus dans le lycée, priant pour que le type abandonne ou au pire, se prenne la gamelle du siècle en glissant, vu toute l’eau qu’il trimballait sur lui !
« Merde merde merde… » lâcha-t-il en courant, le visage crispé.
Le sourire du plus jeune ne tarda pas à disparaître, il palissait à vue d'oeil au fil des menaces du mutant. Il écarquilla les yeux avant de mettre ses deux mains de nouveau devant lui pour cette fois ci les agiter, il recula. Klaus retint un petit rire. C'était tellement rare que ce soit lui qui soit en position de force. Enfin, il faut dire que quand il tombait sur plus grand que lui, il cherchait pas à comprendre, il se barrait à toute vitesse.
« Mauvaise idée mec ! Déjà parce que le prof d’histoire va rappliquer d’une minute à l’autre et qu’il ne va pas apprécier le spectacle, et aussi parce que je n’en vaux pas le coup. Tu vas frapper une fois et j’vais m’écrouler au sol comme une larve, franchement, c’est pas très valorisant hein… J’suis archi-nul comme punching-ball, j’te jure ! »
Il resta un instant immobile avant de faire un rapide demi-tour et de partir à toute allure. Il dérapa pour tourner et s'enfonça dans les couloirs du lycée. Jurant, Klaus se mit à courir après sa cible. Il avait cependant pris du retard. Et bien qu'il soit de base assez rapide, il était loin de l'être autant que l'autre avec toute l'eau qui devait se traîner. Il ne tarda pas à atteindre l'angle du couloir et lorsqu'il voulut déraper pour ne pas perdre de temps, il glissa plus que prévu à cause de l'eau qui dégoulinait de ses vêtements et fini étaler sur le sol.
« Bordel ! »
Il se releva, d'abord le plus rapidement possible, mais en voyant que son pied commençait déjà à glisser et à le faire rechuter, il opta pour prendre son temps et éviter de se blesser aussi bêtement que ça. Il poussa un soupir rageur. Une fois debout, il se frotta le coude sur lequel il était atterri avec une grimace de douleur. Il releva la tête, l'autre crétin devait avoir profiter du temps qui c'était écoulé entre sa cascade et le moment où il s'était relevé pour mettre le plus de distance entre eux deux. Serrant les poings, il continua tout de même, sans courir cette fois ci, juste en allant à un pas rapide. Il espérait bien finir ce qu'il n'avait pas réellement put commencer avec cet imbécile.
Il tourna une fois arriver à un nouveau coin. Ne voyant plus aucune trace du gamin, il se dit qu'il c'était peut être planqué dans une salle. Enfin, c'est ce que lui même aurait fait. Il fit quelques pas en avant, utilisant ce qui pouvait ressemblé à une ruse. Il espérait que cela fonctionnerait. Il marcha encore un peu avant de faire demi tour le plus silencieusement possible. Désirant faire croire à l'autre qu'il était parti. Faudrait il encore que le plus jeune se soit cacher dans cette zone ci, sinon la technique qu'avait utilisé Niklaus ne risquait pas de fonctionner.
HRP : C'est pas top déso', j'avais vraiment pas d'idée x)
Courir, courir et encore courir. De toute façon, il n’avait pas le choix : le type avait l’air remonté – qui ne l’aurait pas été à sa place – et Maxime n’avait aucune envie de se faire choper et de prendre pour l’intégralité de sa bande de faux amis trouillards et lâches ! Alors courir devenait l’objectif principal : sauver sa peau avant toute chose, et il aviserait pour le reste ensuite. Notamment tout ce qui concernait à remonter les bretelles de cette bande de salopards qui s’était enfui… Et ensuite, éviter à tout jamais de recroiser le chemin de ce type. Il se rappelait vaguement de son nom de famille, qui devait commencer par un W. Wi… Wil… Wil quelque chose, voilà. Il savait qu’il était assez discret au lycée, d’où le fait qu’il n’ait pas retenu son nom d’ailleurs : à Saint-James, soit tout le monde vous connaissait comme le loup blanc pour diverses raisons, soit on vous ignorait purement et simplement. En raison de toutes ses conneries qu’il accumulait, de sa fréquentation avec l’indécrottable Thomas qui se faisait inévitablement remarquer, et sa petite bande d’amis tous plus hauts en couleur les uns que les autres, Maxime commençait à avoir une petite réputation… Pas celle du beau gosse qui attirait toutes les filles, mais celle de l’olibrius qui vous arrachait quelques sourires quand on vous racontait ses dernières gaffes. Par contre, Wil-machin-chose n’avait ni réputation, ni rumeur sur son compte, et encore moins une image de play-boy endurci… Auquel cas il était inconnu au bataillon, et Maxime n’était pas sûr de pouvoir implorer sa pitié sans tomber dans un piège. Alors autant courir. Le plus vite possible, cela allait de soi.
Il entendit vaguement un grand fracas derrière lui et espéra que son assaillant était tombé à cause de toute cette eau qu’il trimballait : c’était là sa seule chance de survie, et il ne prit même pas la peine de regarder derrière lui pour s’en assurer. Plus loin il serait et mieux c’était : sauf qu’arrivé dans le couloir de chimie, il comprit qu’il avait fait une erreur monumentale ! Le couloir en question débouchait sur une seule porte, qui donnait dans une petite cour fermée. Le piège idéal dans lequel il ne devait absolument pas tomber !
Alors n’écoutant que sa logique pure, il se dépêcha de trouver la première salle de cours ouverte qu’il put, appuyant sur toutes les poignées jusqu’à trouver la bonne. Sans attendre, il s’engouffra dedans, referma précipitamment et se glissa au sol, dos contre la porte pour éviter qu’il ne soit repéré par la petite fenêtre qu’il y avait sur chaque porte et permettait de poser un regard rapide à l’intérieur. Là il ramena ses genoux contre lui et ferma les yeux, espérant de tout cœur que l’autre élève ait soit abandonné, soit se soit fait trop mal en tombant pour encore espérer lui courir après… Sauf que quelques secondes plus tard, des pas de course précipitée lui indiquèrent que non seulement il s’en était sorti mais courait encore comme un lapin ! C’était bien sa veine…
Il ne lui faudrait que quelques secondes pour atteindre la cour, y entrer et se rendre compte qu’il n’était pas là… C’était sa seule chance, alors se relevant en se dépêchant, il ouvrit la porte et se précipita à l’extérieur pour tenter d’atteindre l’autre sortie avant que son poursuivant ne se rende compte de sa méprise.
Sauf que l’olibrius avait laissé une longue trace d’eau au sol et ses semelles étant lisses, Maxime glissa dessus et se vautra monumentalement au sol, atterrissant sur le dos après une chute en arrière ridicule. Sa tête tapa contre le carrelage dur et il grimaça, fermant les yeux pour tenter de chasser les frissons douloureux qui coururent le long de sa colonne vertébrale.
Et quand il les rouvrit, Wil-machin-chose était penché au-dessus de lui et lui lançait un regard tellement noir que Maxime comprit qu’il s’était fait avoir comme un bleu.
« On peut marchander non ? J’te fais tes devoirs pendant une semaine. Un mois !! Pitié me massacre pas ! »
Nicklaus n'eu pas à attendre bien longtemps avant que le plus jeune ne sorte enfin de sa cachette, il semblait penser être tranquille, un sourire victorieux se dessina sur les traits du lycéen alors qu'il entendit un bruit de chute. Le farceur avait dut glisser sur l'une des longues traînés d'eau qu'il avait laissé en passant par là. Il profita de ce moment où sa « proie » devait être étalé au sol pour sortir de l'angle du couloir et de s'approcher. Le plus jeune était couché sur le sol, les yeux clos, une grimace de douleur peinte sur le visage. Lorsqu'il rouvrit les yeux, il tomba sur le visage énervé de Klaus.
« On peut marchander non ? J’te fais tes devoirs pendant une semaine. Un mois !! Pitié me massacre pas ! »
Un nouveau sourire, il ricana doucement, non, il n'avait pas envie de marchander. Il n'avait pas non plus besoin d'aide dans ses devoirs, surtout venu d'un gamin qui n'était pas dans une classe du même niveau que lui. Il voulais juste le massacrer, pour réutiliser son mot.
« Vois tu, j'ai pas envie de marchander avec toi. »
Sans attendre plus longtemps, il le saisit par les bras, le soulevant, oubliant son pouvoir, rentrant directement en contact avec lui. Il ne s'en rendit compte que trop tard. Il le lâcha immédiatement, il n'était pas censé savoir qu'il était capable de faire ça. Klaus se mordit la lèvre, il se recula d'un pas et passa sa main dans ses cheveux en se retournant, pour être dos à l'autre. Maintenant, il était clairement dans la merde si ce morveux en parlait à qui que ce soit.
« Ok. T'étais pas censé savoir ça. T'as intérêt à te la fermer ok ?! »
Il c'était retourné vers le plus jeune, avec un air menaçant. Il ne voulait pas que le lycée entier sois au courant qu'il possédait un pouvoir. Qu'il était un mutant.
HRP : Alors, désolé pour le temps de réponse et la qualité du RP, j'ai beaucoup de mal en ce moment :/